Couronné aux États-Unis par un Barry Award, prestigieux prix de littérature policière, le premier thriller de Connor Sullivan, L’Ours qui dort, est publié en France cet automne chez H&O. Un polar salué par la critique outre-Atlantique pour son intrigue palpitante, sa documentation exemplaire et son style « survitaminé ». En librairie le 24 septembre.
L’Ours qui dort, une expérience de lecture immersive pleine de rebondissements
Partie se ressourcer dans la nature sauvage de l’Alaska, Cassie Gale se volatilise soudainement ; le campement qu’elle avait établi près d’une rivière est retrouvé saccagé. Ce n’est certes pas la première personne à disparaître ainsi dans cet état enclavé du nord des États-Unis : ours, loups, chutes mortelles, les possibilités d’accident ou de mauvaises rencontres ne manquent pas sur ce territoire hostile… Mais Cassie est une sportive aguerrie, une ancienne de l’armée ! Son père Jim Gale, confronté au manque de réactivité des autorités locales, décide d’enquêter lui-même sur place.
Déterminé à élucider ce mystère à tout prix, Jim va remuer ciel et terre pour retrouver la jeune femme avant qu’il ne soit trop tard. Il devra pour cela faire face aux démons de son propre passé et se confronter à un ennemi bien plus impitoyable que tout ce qu’il avait pu imaginer.

L’Ours qui dort, une intrigue qui aborde des thèmes très variés
• Un duo fille-père moderne et émouvant.
• Une plongée dans les coulisses du Kremlin et de la Maison Blanche.
• Les ravages du syndrome de stress post-traumatique chez les vétérans de l’armée américaine.
• À la découverte de l’Alaska et des peuples autochtones.
• Un traitement romanesque de la question des disparitions en Alaska (70 000 signalements depuis 1988).
• Le fonctionnement des différentes strates des forces de sécurité locales et fédérales aux États-Unis.

Connor Sullivan, nouvel orfèvre du thriller
Connor Sullivan vit dans le Montana. Il a fréquenté l’Université de Californie du Sud, où il a reçu le prix Edward W. Moses de création littéraire. Pendant ses études, il a effectué un stage pour la Warner Bros avant de déménager avec sa famille dans la Gallatin Valley (Montana).
Connor Sullivan a fait, avec L’Ours qui dort, une entrée fracassante dans le monde du thriller d’action, récompensé en 2022 par le prestigieux Barry Award du meilleur premier roman. Le jeune auteur s’est imposé d’emblée comme l’un des plus doués de sa génération. L’édition H&O de ce best-seller est sa première rencontre avec le public français.
L’Ours qui dort, H&O 2024.
480 pages.
Prix public : 22,90 euros TTC.
Sortie en librairie : 24 septembre 2024.
Portrait Connor Sullivan : © Mariafe Ponce.
Mini-site H&O de l’ouvrage et kit presse en ligne.
Infos presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.






À propos d’Yves Navarre
Jérémie, 13 ans, vit au Chili, à la lisière de la forêt amazonienne. Son frère aîné, Jonah, est en proie à de curieuses idées fixes et exerce sur lui un harcèlement que sa famille refuse de prendre au sérieux. Lors d’une excursion insensée dans la jungle, Jonah disparaît et est bientôt présumé mort. Ravagés par le chagrin, ses parents accusent Jérémie d’avoir assassiné son propre frère par jalousie. Ne supportant plus sa présence, ils expédient l’adolescent aux USA dans un mystérieux pensionnat militaire où lui seront inculquées les techniques d’infiltration et d’assassinat qui constituent le bagage de tout vrai patriote au service de son pays. Jérémie va alors passer de l’autre côté du miroir et pénétrer dans le cercle très fermé de ceux qui tirent les ficelles du monde et ne reculent devant rien pour parvenir à leurs fins.
L’important pour moi c’est la liberté d’écriture. Je ne supporte pas qu’on essaie de m’imposer des choses sous couvert de « suggestions » et qu’on tente mine de rien de prendre le contrôle de mon manuscrit, voire de le rewriter. J’ai claqué plusieurs portes pour cette raison. Je ne fais pas partie des auteurs dociles, c’est pourquoi j’ai la réputation « d’avoir un problème avec l’autorité ». Il m’a semblé que chez H&O je serais enfin protégé de ces menaces, et que s’établirait un climat de confiance. Et surtout, je le répète, ces gens m’ont paru très motivés par leur travail, ce qui n’est pas si fréquent de nos jours où la routine commerciale et le découragement finissent par avoir raison des meilleurs. Lors des déjeuners professionnels on m’assomme de chiffres… mais on me parle de moins en moins de livres. Dommage. Ce n’était pas le cas lorsque j’ai débuté dans le métier, et je le regrette ; mais bon, comme on l’aura compris : je suis un vieux con.
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