Futurapolis Santé – Tout savoir sur la Covid-19 : ouverture des inscriptions

Liberté, santé, immunité ! La 4e édition de Futurapolis Santé, le grand rendez-vous organisé par Le Point, en partenariat avec la Ville de Montpellier et Montpellier Méditerranée Métropole, sera consacrée à l’immunité dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. Les 9 et 10 octobre prochains, à Montpellier, l’ensemble des experts présents tireront les enseignements de cette crise sanitaire. À travers des tables rondes, de grands entretiens, des ateliers et un espace de formation, ce forum gratuit sur inscription en ligne, offrira toutes les clés pour penser la santé de demain.

Les inscriptions sont ouvertes au grand public !
Les inscriptions sont ouvertes ! Le grand public, initié ou non à Futurapolis Santé, est invité à s’inscrire dès à présent sur le site internet de l’événement : https://www.futurapolis-sante.com/inscription/

Futurapolis Santé : un événement physique et digital
Pour rendre toujours plus accessible le contenu de son forum, Futurapolis Santé accélère sa digitalisation. En plus de l’événement physique qui se tiendra à l’Opéra Comédie de Montpellier, le public aura la possibilité de suivre les conférences, tables rondes et ateliers, en live sur les réseaux sociaux du Point et du Point Innovation et lors de webinars dédiés.

Un programme riche et de nombreux intervenants de renom
Cette année encore, Futurapolis Santé, élaboré par les journalistes du Point, accueillera médecins, chercheurs et soignants, responsables sanitaires et politiques :

• Thomas Le Ludec, directeur général du CHU de Montpellier
• Aurélie Jean, docteur en sciences et entrepreneur
• Bertin Nahum, président et fondateur de Quantum Surgical
• Odile Launay, professeur infectiologue à l’hôpital Cochin à Paris
• Pr Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’université de Paris
• Pr François-Olivier Touati, doyen de la faculté des Art et Sciences humaines de Tours
• Jeanne Siaud-Facchin, psychologue clinicienne et psychothérapeute à Paris
• Jérôme Guedj, chargé d’une mission sur l’isolement des personnes âgées confinées
• Roxana Ologeanu-Taddéi, maître de conférence habilité à diriger des recherches en sciences de gestion à Polytech Montpellier
• Et bien d’autres personnalités…

La galerie de la découverte et une nouveauté pour l’édition 2020
Futurapolis Santé invite le public à visiter la « Galerie de la découverte », un lieu de démonstration installé au sein de l’Opéra.
Pour cette 4e édition, Futurapolis Santé inaugure une nouveauté : deux espaces d’échanges et de formation seront ouverts au public. Un univers zen, où les intervenants feront découvrir les bonnes pratiques à adopter pour préserver son immunité, notamment grâce à une bonne alimentation, à la méditation, ou encore au yoga.
Un second dédié à la formation, proposera plusieurs sessions, dont certaines réservées aux étudiants, sur les métiers de l’hôpital, de la recherche, du droit et de la santé ou encore sur le métier de psychologue.

On en parle à Futurapolis Santé…
#Covid-19, #Antiviraux, #Hôpitaux, #Epidémie, #Immunité, #Confinement, #Déconfinement, #Vaccins, #Téléconsultation, #Environnement, #Economiedelasanté, #Politiquedesanté, #Santépublique, #Dépistage, #Seniors, #Aidants

Plus d’informations sur le site futurapolis-sante.com

À propos de Futurapolis Santé
Créé par Le Point à Montpellier en 2017, Futurapolis Santé est le forum de référence dédié à la santé et à l’innovation. Les débats, pensés et animés par les équipes du Point, se font l’écho des nombreuses prouesses et avancées dans le domaine de la médecine et de la science. Avec de nombreux intervenants de référence, ce forum est un lieu de partage et de découverte. Futurapolis Santé est aussi une rubrique dédiée sur le site du point : https://www.lepoint.fr/futurapolis/

Contacts presse :
• Agence WEAD : Cécilia FLORIO, 06 02 17 42 03.
• À Montpellier : Karine BAUDOIN, 06 30 08 42 14.

Futurapolis est organisé par Le Point, en partenariat avec Montpellier Méditerranée Métropole et la Ville de Montpellier.

Congrès d'échographie générale 21-23 juin 2019 : pré-programme et accréditations presse


Rendez-vous au Palais des congrès de Paris les 21, 22 et 23 juin 2019 pour assister au Congrès d’échographie générale organisé par l’École d’échographie sans frontières. Le Pr Jean-Marie Bourgeois et les membres de son comité scientifique démontreront l’intérêt de l’échographe dans la pratique clinique des médecins généralistes, et lèveront les freins à son adoption : en effet, seulement 8 à 10% des généralistes français pratiqueraient l’échographie dans leur cabinet. Au programme du congrès, une quarantaine de conférences et des ateliers qualifiants DPC (sous l’égide du Centre francophone de formation échographie).

• Consulter le communiqué de presse
• Télécharger le programme du congrès (MAJ 11 juin)
• Télécharger le formulaire de demande d’accréditation presse (fichier Word).
Votre contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

L’échographie en médecine générale, de l’utopie à la réalité ! Congrès d’échographie générale, 21-23 juin 2019, Paris


L’École d’Échographie Sans Frontières organise à Paris son Congrès d’échographie générale du 21 au 23 juin 2019. Le Docteur Dominique Amy, le Professeur Jean-Marie Bourgeois et les membres du comité scientifique démontreront qu’il est possible pour les médecins généralistes d’intégrer l’échographie dans leur pratique clinique quotidienne. Outil essentiel pour les médecins exerçant hors de France auprès de patients défavorisés, l’échographe convainc encore trop peu de médecins français  : le Centre Francophone de Formation en Échographie proposera à ces derniers des ateliers qualifiants DPC.
L’échographie est sous-utilisée dans la médecine du premier recours en France (5 à 8% des médecins généralistes seraient concernés), alors qu’elle est pratique courante en Allemagne ou au Japon. Pourtant, les près de 7000 médecins que le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois a déjà formés à cette pratique témoignent qu’ils ne pourraient plus s’en passer. Le Pr Bourgeois a donc réuni plus de 400 médecins lors d’un premier congrès en janvier 2018. Il renouvelle l’expérience du 21 au 23 juin prochain avec le concours de l’École d’Échographie Sans Frontières. Les médecins étrangers qui préparent le Postgraduate Diploma in Medical Ultrasound délivré par l’École, ainsi que l’ensemble des congressistes, pourront assister à une quarantaine de conférences consacrées à l’intégration de l’échographie dans la pratique clinique du médecin généraliste et à de nombreux examens clinico-échographiques, sous la présidence des docteurs Mohamed Amine, Dominique Amy, Yohann Celdran, Bernard Defer, Francis Pellet, Bénédicte Poumailloux, Héry Rakotovero, Éric Starczala et Amine Taame. Les médecins français, généralistes ou spécialistes, souhaitant se former ou se perfectionner au maniement de l’échographe pourront suivre des ateliers qualifiants DPC parmi les 22 organisés par le Centre Francophone de Formation à l’Échographie durant toute la durée du congrès.
L’échographie révolutionne la pratique de la médecine générale
La pratique de l’échographie de proximité révolutionne la médecine de premier recours et le statut du médecin généraliste. En effet, l’affirmation ou l’exclusion des diagnostics échographiques ou clinico-échographiques modifient radicalement la conduite à tenir et permettent d’orienter ou pas le patient en médecine du second recours ou aux urgences. Car si certains diagnostics sont à réserver aux experts, d’autres sont très sensibles et/ou très spécifiques donc faciles à assumer par le médecin généraliste. C’est le cas, entre autres diagnostics, du dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale, du pneumothorax, de la datation de la grossesse ou encore de la phlébite poplitée. «  L’échographie permet au médecin de gagner du temps, de réaliser des diagnostics plus précoces et d’apporter une évaluation immédiate aux problèmes cliniques urgents  » constate le Pr Bourgeois, qui considère l’échographe comme «  le stéthoscope du 3e millénaire ». Pour lui et la trentaine de médecins qui l’accompagnent sur l’organisation de ce congrès, l’objectif d’intégrer l’échographe en médecine générale est tout sauf utopique : ils en ont fait leur réalité !
Congrès d’échographie générale • 21-23 juin 2019 • Palais des congrès de Paris
Droits d’accès : 280 euros • Accès inclus pour les médecins inscrits aux Ateliers qualifiants du CFFE.
www.congres-echographie.com

Le Pr Jean-Marie Bourgeois en conférence lors du Congrès d'échographie générale en 2018

À propos de l’EESF et du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
L’École d’Échographie Sans Frontières, basée à Nîmes, dispense des cours d’échographie à distance pour médecins généralistes (durée deux ans) et par spécialité (durée un an). Elle propose la formation Postgraduate Diploma in Medical Ultrasound. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président du Centre Francophone de Formation en Échographie (CFFE), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
Télécharger ce communiqué en PDF.
Télécharger le pré-programme en PDF.
Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

Formation : 400 médecins généralistes réunis à Paris autour de l’échographie de proximité.


Le premier Congrès d’Échographie en médecine générale s’est tenu du 12 au 14 janvier à Paris, à l’initiative du Centre Francophone de Formation en Échographie. Pari réussi pour le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois et son comité scientifique, qui ont formé et sensibilisé 400 médecins généralistes à l’échographie de proximité. Cette mobilisation coïncidait avec l’annonce par le Ministère des Solidarités et de la Santé de nouvelles mesures d’accès territorial aux soins, via la télé-médecine notamment…
La pratique de l’échographie de proximité révolutionne la médecine de tous les jours et le statut du médecin généraliste. C’est ce qui justifiait, aux yeux du Docteur Jean-Marie Bourgeois, l’organisation d’un congrès mêlant plénières d’échanges d’expériences et de bonnes pratiques et ateliers de formation à la prise en main d’un échographe. Celui qui se qualifie de « militant pour l’outil échographique entre les mains du MG » a ouvert, le 12 janvier dernier, au Palais des congrès de Paris, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale en exposant les principaux obstacles à la pratique quotidienne de l’échographie. Il a apporté des réponses tirées de l’expérience des médecins qui se sont équipés et formés au maniement de l’échographe. Pour le Dr Bourgeois, le médecin généraliste aura tout intérêt à consulter le radiologue comme un partenaire expert (obstacle relationnel), à choisir un fournisseur de matériel disponible et à son écoute (obstacle équipement) et à opter pour une solution de location (obstacle financier). La principale difficulté reste le temps car si l’échographie fait gagner en efficience, elle incite les médecins à se former, à en apprendre toujours plus… Enfin, à l’obstacle compétence, le Dr Bourgeois répond par la Situation Clinico-Échographique : à l’inverse de certains diagnostics à réserver aux experts, certaines circonstances clinico-échographiques, très sensibles et/ou très spécifiques, peuvent être assumées de façon fiable et, de surcroît, rapide, par le médecin généraliste.

Des médecins généralistes se forment à la prise en main d'un échographe

L’échographie rapproche le médecin de ses patients
«  L’Échographie constitue un outil qui nous rapproche de nos patients : elle nous propose d’être au cœur même de la région douloureuse, de visualiser l’organe, qui interpelle, sous toutes ses coutures, ‘ses dehors comme ses dedans’. Surtout : de le voir ensemble, le patient et moi. Oui, ensemble : nous sommes deux et devant l’écran, nous cherchons à deux, nous découvrons à deux.  » Cette déclaration du Dr Bourgeois a trouvé un écho dans l’intervention de SOS Médecins France, qui organisait la 2e journée du congrès. Ainsi, dans une étude menée en interne en 2017, 88% des médecins répondants considèrent que l’échoscopie améliore la communication avec les malades et 92% qu’elle aide dans la recherche diagnostique. De façon générale, elle prolonge la réflexion, conforte le médecin ou le réoriente.
Vers une édition 2019 internationale
Les organisateurs du congrès donnent rendez-vous aux médecins en 2019. Confortés par la fréquentation de la première édition et par la présence de délégations étrangères (Mali, Maroc, Madagascar, Tunisie, Algérie, États-Unis), ils souhaitent donner une véritable dimension internationale à l’événement. D’ici là, le CFFE propose aux médecins de compléter les ateliers présentiels du congrès par des formations en ligne et un coaching quotidiens. Ils pourront enfin demander de l’aide pour leurs dossiers d’échographie.

Le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois en assemblée plénière à Paris.

À propos du CFFE et du
Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois

Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’École d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
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• Le dossier de presse du Congrès.
Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

L’échographe est le stéthoscope du futur ! Premier Congrès d’Échographie en médecine générale, Paris, 12-14 janvier 2018.


Le Centre Francophone de Formation en Échographie organise à Paris le premier Congrès d’Échographie en médecine générale du 12 au 14 janvier 2018. Une trentaine de médecins généralistes épaulent le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois pour informer et former leurs confrères et consœurs sur ce qu’ils considèrent comme le stéthoscope du futur.
Selon les estimations du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois, seuls 5% des médecins généralistes français auraient intégré l’échographe dans leur pratique quotidienne, contrairement à bon nombre de praticiens spécialistes qui assurent les échographies « bedside ultrasound » (au chevet du patient), notamment en Réanimation, en Cardiologie, en Rhumatologie, en Angiologie… Afin de remédier à la situation, le Centre Francophone de Formation en Échographie organise au Palais des congrès de Paris, les 12, 13 et 14 janvier 2018, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale. Les participants pourront y découvrir le concept de « l’échographe, stéthoscope du 3e millénaire », échanger avec des médecins qui utilisent déjà cet appareil d’imagerie et surtout se former à sa prise en main.
L’échographie en médecine générale  : une cause publique
Tous les travaux réalisés sur le sujet démontrent l’intérêt de pratiquer l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet. Ainsi Marion Pla et Laurent Seyler (1) expliquent que l’échographie permet au médecin de gagner du temps, de réaliser des diagnostics plus précoces, d’apporter une évaluation immédiate aux problèmes cliniques urgents et d’orienter le patient de manière appropriée (sans engorger les services d’urgence notamment).
Le Pr Bourgeois rappelle qu’il y a une vingtaine d’années, le Professeur Moreau, radiologue précurseur, avait proposé à la Sécurité sociale de mettre à la disposition du médecin généraliste un échographe avec l’objectif de dépister les anévrismes de l’aorte abdominale : « On mesure le bénéfice de l’outil en termes de décès évités par rupture d’AAA ! » Elsa Mani (2) note aussi que, dans de nombreux pays comme en Allemagne ou au Japon, la pratique de l’échographie est courante en soins primaires et perçue comme un prolongement de l’examen clinique, au même titre que la bandelette urinaire et la glycémie capillaire.
Enfin, pour le Pr Bourgeois, « l’échographie participe – et pourrait participer bien davantage – à dissiper le malaise ressenti par les médecins généralistes. La reconnaissance insuffisante de notre utilité par la société, par les partenaires (plus rarement par nos patients), et finalement par les médecins généralistes eux-mêmes, ne peut être redressée que par une plus grande efficience de notre discipline, notamment grâce à l’échographie. »
Congrès d’Échographie en médecine générale • 12-14 janvier 2018 • Palais des congrès de Paris
Droits d’accès : 280 euros • Ateliers qualifiants indemnisants proposés • www.congres-echographie.com • Télécharger le programme complet.
À propos du CFFE et du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’Ecole d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
(1) Marion Pla et Laurent Seyler, « Pratique de l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet ; perceptions des praticiens », Médecine humaine et Pathologie, 2016.
(2) Elsa Mani, « Utilisation de l’échographie par les médecins généralistes en France : enquête descriptive », Médecine humaine et pathologie, 2016.
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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

Le nouveau scanner de Lodève inauguré le 21 avril 2016

Les médecins radiologues de l’Imagerie du Lodévois inaugureront leur nouveau scanner à l’Hôpital de Lodève le 21 avril prochain. Cet appareil, plus performant, remplace le scanner détruit par les inondations de septembre 2015.
L’Hôpital de Lodève dispose d’un scanner nouvelle génération (Philips 16 barettes) depuis le 22 février dernier. Suite à l’inondation des locaux, l’Agence Régionale de Santé, avec l’accord des radiologues de l’Imagerie du Lodévois (groupe privé CRP), a en effet renouvelé son autorisation d’installation d’un scanner en novembre 2015. L’appareil est utilisé pour les urgences, et sur rendez-vous, pour environ 3500 patients par an. « Nous fonctionnons à Lodève sur le même principe qu’à Lunel, commente le Dr Jean-Michel Ferru, radiologue gérant du CRP. Nous savons à quel point il est important pour les habitants de maintenir une offre de soins de qualité sur ces territoires. Grâce au partenariat public-privé, nous compensons le déséquilibre entre la métropole de Montpellier et les villes moyennes des cantons voisins. »
Un partenariat public-privé au service des patients
Le partenariat entre le centre hospitalier et le CRP existe depuis 2009, mis en place à l’origine pour l’activité de radiologie conventionnelle. L’ARS a donné son autorisation pour l’installation du premier scanner en juin 2013 ; les médecins radiologues ont mis en service un échographe en novembre de la même année. Le CRP dépêche un radiologue dans le service quatre demi-journées par semaine. En dehors de ces vacations, les radiographies et les scanners sont interprétés en direct par télé-imagerie, avec un système de visioconférence relié au service d’imagerie de la Clinique du Parc (Groupe Clinipole) à Castelnau-le-Lez. Patients et médecins prescripteurs peuvent consulter les résultats et les images d’examens en ligne. Les radiologues du CRP assurent aussi la permanence des soins et les urgences radiologiques en partenariat avec le CAPS (Centre d’Accueil et de Permanence des Soins) de l’Hôpital.
La collaboration public-privé se traduit enfin par l’apport du Groupe Clinipole à l’offre de soins du Lodévois : mise à disposition de médecins, soutien au Centre Hospitalier, installation de la télémédecine…
À propos du CRP
Le CRP réunit 23 médecins radiologues exerçant dans 5 centres d’imagerie médicale :
• Castelnau-le-Lez (Clinique du Parc, Groupe Clinipole)
• Lunel (Clinique Via Domitia, Groupe Clinipole, au sein du Pôle Santé)
• Montpellier (ICM Val d’Aurelle et Pôle santé Parc 2000)
• Lodève (Centre hospitalier).
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Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.
 

Première en région : une prothèse totale du genou en ambulatoire à la Clinique La Garaud (Bagnols-sur-Cèze).


La première pose en Languedoc-Roussillon d’une prothèse totale du genou en ambulatoire a eu lieu le 15 mars dernier à la Clinique La Garaud, à Bagnols-sur-Cèze. Cette technique chirurgicale de pointe, encore rare en France pour le genou, s’accompagne d’une prise en charge globale du patient grâce au protocole de récupération rapide après chirurgie (RRAC®).
Pionnier de la pose de prothèse totale de genou (PTG) en ambulatoire l’an passé en PACA, le Dr Jean-Louis Mallet vient de renouveler cette opération de haute précision à Bagnols-sur-Cèze, une première dans la région. Admis à 7h30 à la Clinique La Garaud le 15 mars dernier, le patient du Dr Mallet, un retraité de 71 ans, en est ressorti à 17h00. L’intervention elle-même, très complexe, a duré 1h15. L’équipe chirurgicale a procédé à une anesthésie générale, puis à une anesthésie locale de l’articulation (LIA : Local Infiltration Analgesia) pour éviter toute douleur au réveil et permettre au patient de quitter la clinique en marchant.

Pose d'une prothèse totale du genou en ambulatoire, Clinique La Garaud, Bagnols-sur-Cèze.

« Ce type d’intervention en ambulatoire se pratique sur des patients volontaires, que nous préparons physiquement et psychologiquement » précise le Dr Mallet. « Plus le patient est acteur de sa récupération, plus vite il progresse. » La récupération rapide après chirurgie (RRAC®), initiée par les scandinaves, a en effet pour but de réduire l’impact psychologique et physique de l’intervention. En oubliant la lourdeur de l’opération, le patient se retrouve dans un état d’esprit plus favorable à la récupération. Ces poses de prothèse en ambulatoire nécessitent un travail d’équipe au sein et à l’extérieur de la clinique, car la prise en charge du patient implique aussi bien le chirurgien, l’anesthésiste et l’infirmier, que le kinésithérapeute, le médecin de ville ou le personnel administratif.
La Garaud, futur centre de chirurgie ambulatoire.
La Clinique La Garaud investit donc l’ambulatoire avec succès. Sa directrice Alexia de Beukelaer s’en réjouit, car l’établissement va justement centrer son activité sur l’ambulatoire dans le cadre d’un projet de partenariat public-privé avec le Centre Hospitalier de Bagnols-sur-Cèze : « En faisant appel à des chirurgiens comme le Dr Mallet, nous avons intégré des techniques et des modes de prise en charge innovants (RRAC®, analgésie…). Nous sommes prêts pour notre nouvelle orientation ! » Dès septembre 2016 donc, l’ensemble des moyens relatifs à l’activité de chirurgie seront rassemblés sur le site du Centre Hospitalier. L’activité de chirurgie ambulatoire sera mise en œuvre dans le cadre d’une structure commune (Groupement de Coopération Sanitaire – GCS – de moyens, de droit privé) et d’un plateau technique partagé. Le Centre Hospitalier seul réalisera et gèrera l’hospitalisation complète ; la Clinique assurera uniquement l’ambulatoire.
À propos de la Clinique La Garaud
La Clinique La Garaud appartient au Groupe Clinipole, 2e groupe de soins privés du Languedoc-Roussillon. Clinique chirurgicale généraliste de proximité et à taille humaine, elle offre une capacité de 60 lits et places. Seul établissement privé de son bassin (160 000 habitants), la Clinique La Garaud propose à ce jour une offre de soins en hospitalisation complète et en ambulatoire dans différentes spécialités. Elle a mis en œuvre des partenariats et des projets de coopération, notamment avec le Centre Hospitalier, afin de répondre aux besoins de la population. Cela s’est traduit, dans un premier temps, par la mise en place d’une activité de Soins de Suite et de Réadaptation dans un GCS d’établissement de santé de droit privé.
• Personnels de la clinique : une vingtaine de médecins libéraux spécialistes et 50 salariés.
• Patients par an : 3 525 (en ambulatoire et hospitalisation complète) ; taux ambulatoire 2015 : 86.5% (contre 50% en région en 2014).
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Contact presse : Karine Baudoin • 04 67 40 36 77 • 06 30 08 42 14.
 

L’urgence d’une IRM sur le Pôle de santé public-privé de Lunel


Le Lunellois attend son IRM depuis 2009. Le Centre d’imagerie médicale de Lunel, installé sur le Pôle de santé public/privé Professeur Louis Serre, a déposé sa 5e demande en février dernier. Il bénéficie du soutien de l’Hôpital public et de la clinique Via Domitia (groupe Clinipole), ainsi que des élus locaux. Tous attendent un rééquilibrage de l’offre de soins dans l’Hérault, au profit d’une population en forte croissance, toujours plus âgée et en voie de paupérisation.

Le pôle de santé public/privé de Lunel attend son IRM depuis 2009.

Le Centre d’imagerie médicale de Lunel est le plus important centre de l’Hérault dépourvu d’IRM. L’Agence Régionale de Santé n’a cependant pas donné suite à ses différentes demandes, malgré un vote favorable, dès 2010, du Comité Régional de l’Organisation Sanitaire. Pour le Dr Jean-Michel Ferru, radiologue, tous les éléments sont réunis pour l’implantation d’une IRM sur Lunel : un bassin de population conséquent (zone d’attractivité de 196.000 habitants) aux besoins de soins croissants, et un modèle de coopération public/privé au sein du Pôle de santé. « L’offre de soins se raréfie sur le Lunellois. Les cabinets de radiologie d’Aimargues, de Vergèze et du Grau-du-Roi ont fermé à partir de 2010, et celui de La Grande-Motte est à vendre depuis trois ans ! » Le Centre d’imagerie de Lunel est donc le seul cabinet de l’Est héraultais à disposer d’un scanner et d’un plateau technique complet. En 2015, il a accueilli près de 84.000 patients.
L’accès aux soins en souffrance dans l’Est de l’Hérault
Dans le 3e canton héraultais en nombre d’habitants, les patients doivent se rendre à Montpellier ou à Nîmes pour passer une IRM. Les radiologues du Centre d’imagerie de Lunel estiment qu’ils seraient en mesure de pratiquer a minima 11.245 examens IRM par an, sur la base des seuls actes réalisés sur la Clinique du Parc pour des patients du Lunellois et des examens scanner de Lunel qui pourraient être remplacés par des IRM. La révision du Schéma Régional d’Organisation des Soins prévoit de mettre à niveau les territoires en tenant compte de l’évolution des populations. Elle doit donc considérer la courbe démographique du Lunellois (+26% entre 1999 et 2013 contre +18% dans le Gard, +22% dans l’Hérault, +6% en France) et le vieillissement de la population (25% des habitants du Lunellois avait plus de 60 ans en 2011). Enfin, l’installation d’une IRM à Lunel permettrait d’améliorer les pratiques en réduisant les techniques irradiantes (substitution scanner-IRM recommandée par la Haute Autorité de Santé) et en raccourcissant les délais de réalisation des examens et du dépistage, préconisation du plan cancer 2014-2019.

Préserver la médecine de proximité
La volonté du Centre d’imagerie de Lunel d’obtenir une IRM répond aussi à une conception de la médecine libérale axée sur la proximité et la qualité. Cette philosophie se traduit sur le terrain par la coopération public/privé (sur Lunel et Lodève, à Montpellier avec l’ICM) et par l’implantation dans des zones touchées par la paupérisation (Pôle santé du Parc 2000 à La Paillade, mais aussi Lunel où le taux de chômage atteignait 16,6% en 2011). Les radiologues du Centre pratiquent des honoraires conventionnés sans dépassement. Enfin, ils ont mis en place, pour les patients et les médecins, un système innovant de diffusion d’images via un site sécurisé accessible par identifiant et mot de passe. Le Centre est labellisé LABELIX.
A propos du Centre d’imagerie de Lunel
Le Centre d’imagerie (société civile CRP) est un groupe de 23 médecins radiologues exerçant dans 5 cabinets d’imagerie médicale situés à :
• Montpellier (ICM Val d’Aurelle et Pôle santé Parc 2000)
• Castelnau-le-Lez (Clinique du Parc)
• Lodève (Centre Hospitalier)
• Lunel (Clinique Via Domitia au sein du Pôle santé).
Le Centre compte 8 médecins radiologues libéraux, 15 manipulateurs et 19 secrétaires.
Seul cabinet du Lunellois doté d’un scanner et d’un plateau technique complet :
1 mammographe, 5 tables de radiologie, 1 ostéodensitomètre, 1 Cone Beam dentaire, 4 échographes.
À propos du Pôle de santé de Lunel
Créé en 2007, le Pôle de santé public/privé Pr Louis Serre est le résultat de la volonté des différents acteurs de santé de Lunel de mutualiser leurs services dans des locaux communs, fonctionnels et faciles d’accès :
• Centre Hospitalier
• Clinique Via Domitia (groupe Clinipole)
• Service d’urgences
• Centre d’imagerie médicale
• Centre d’autodialyse.
Le Pôle santé bénéficera d’une extension de 1800 m2 dès juin prochain.

Financement et CA prévisionnel de l'IRM à Lunel

 
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Un condamné au locked-in syndrome s’est échappé

Victime d’un double AVC à 42 ans, Christophe Merlier a vécu 10 jours sans pouvoir ni parler ni bouger, enfermé dans son corps comme dans une camisole de force. Il est l’un des rares rescapés du locked-in syndrome (ou syndrome d’enfermement), vit à Nîmes en autonomie et a consacré le dernier volet de sa biographie à ce terrible accident de la vie. Pour dire à sa fille qui il est. Pour témoigner qu’il est possible de revivre après un AVC et participer à la prévention. Pour sensibiliser enfin au combat de l’association ALIS créée par Jean-Dominique Bauby (auteur Le Scaphandre et le Papillon), à laquelle il souhaite reverser les bénéfices des ventes de son récit. Voyage en AVC vient de paraître aux éditions La féria des mots, version modifiée de l’ouvrage La ligne de vie sorti en 2011.
Une échappée belle exceptionnelle
« J’ai survécu à une tempête dans l’Atlantique, un braquage en Colombie, au serpents, aux maladies amazoniennes, à la mafia chinoise, à un AVC, un tremblement de terre… » Christophe Merlier a parcouru le monde pour échapper à un destin tout tracé, la reprise de l’entreprise familiale de maçonnerie. Jusqu’à cet AVC qui le frappe en Corse. Autre voyage qui lui permet aujourd’hui de savourer la vie au lieu de la « traverser bêtement en courant ». Christophe est conscient du privilège qu’il a d’être libre à nouveau. Car son cas est exceptionnel selon son médecin le Dr Frédéric Pellas, responsable de l’unité cérébro-lésés du CHU de Nîmes et l’un des médecins référents au locked-in syndrome en France. En effet, le LIS est un état neurologique rare souvent consécutif à un accident vasculaire cérébral détruisant le tronc cérébral, nœud de communication entre le cerveau et la motricité. La rééducation entraîne certes des progrès, mais minimes ou partiels, et peu de patients retrouvent la parole et l’autonomie comme Christophe.
 

Voyage en AVC – Chris
Éditions La féria des mots, décembre 2014.
220 pages – 15 euros.
Prix du Récit de l’Académie du Béarn
et La Renaissance Aquitaine.
Chapitre sur l’AVC en consultation libre
sur www.feriadesmots.com,
« afin de sensibiliser les proches des patients
sur ce que peut être un locked-in syndrome vu de l’intérieur ».
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