Le Château de l’Engarran élargit son offre œnotouristique. Diane Losfelt et Constance Rérolle ont repensé le caveau de vente du domaine et son musée, et fait aménager deux salles supplémentaires attenantes. Le Château de l’Engarran s’ouvre ainsi aux séminaires d’entreprises, aux clubs œnologiques et aux groupes familiaux en offrant à leurs travaux, dégustations et fêtes un cadre singulier, à la fois prestigieux et chaleureux.
L’année 2015 voit se concrétiser un projet qui tournait dans la tête des vigneronnes du Château de l’Engarran depuis une dizaine d’années : l’aménagement d’une véritable structure œnotouristique permettant l’accueil d’entreprises, de clubs œnologiques et de groupes familiaux ou amicaux. Diane Losfelt et Constance Rérolle ont investi 220.000 euros pour pouvoir disposer de quatre salles à la hauteur de leurs ambitions. Elles ont travaillé avec l’architecte Delphine Cayzac : en ouvrant trois voûtes du 17e siècle les unes sur les autres, elles ont créé un espace réceptif unique dans son style.
Le Caveau, désormais ouvert sur le parc et le château, fait le lien entre patrimoines historique et viticole. On circule aisément dans cette vaste pièce lumineuse adaptée à la dégustation et à la vente. La nouvelle décoration du Musée permet de réserver ce dernier à des séances de travail en comité restreint ou à la dégustation. La Bergerie, pièce voûtée en demi sous-sol avec sortie privative sur le parc, se prête à l’étude et à la concentration. Le Cuvier est la salle de cocktail par excellence ; sa terrasse sur la cour du domaine plonge les visiteurs au cœur de l’activité viticole.
Le Château de l’Engarran peut ainsi recevoir plusieurs groupes en même temps dans le respect de l’intimité de chacun. « Ces quatre mois de travaux nous ont en plus réservé une belle surprise, témoigne Diane. Le mur du Cuvier dormait en trésor bien caché, décoré de tuiles vernissées vertes, jaunes et ocre vieilles de plus de deux siècles. »
Une invitation à rentrer dans la « famille de l’Engarran »
L’équipe du Château de l’Engarran maîtrise depuis longtemps l’accueil de petits groupes pour des visites guidées et des dégustations commentées, en français et en anglais. Les visiteurs s’évadent dans un écrin de verdure et découvrent, au travers des détails architecturaux du château et de son parc à la française, toute la symbolique de l’art au 18e siècle et de l’amour galant. « Nous pensons l’œnotourisme en accord avec notre patrimoine dans une recherche de qualité et d’exception, précise Diane. Nous voulons désormais accueillir les professionnels et les groupes familiaux dans la famille de l’Engarran en leur offrant un accueil chaleureux et VIP pour travailler, s’instruire et se divertir dans un cadre hors du commun. »
Les vigneronnes du Château de l’Engarran revendiquent un œnotourisme qualitatif à taille humaine, pour des groupes à taille humaine. « Notre accueil, nos salles voûtées, nos visites guidées, nos commentaires sur nos vins doivent exprimer nos gènes : l’ADN du domaine ! »

Les salles de l’Engarran
La Bergerie
36 m2 • 30 places en amphithéâtre, 45 en cocktail.
Pièce voûtée 17e, sortie privative sur le parc. La Bergerie de l’Engarran a connu mille vies : logement aux murs épais avec cheminée au 17e, bergerie du temps de Quetton St Georges, lieu de stockage du vin il y a 30 ans puis bureau de l’actuel propriétaire. Cette pièce rustique dans son architecture, chaleureuse dans les coloris de ses pierres, secrète et recueillie dans sa position en demi sous-sol, se prête à merveille à l’étude et à la concentration.
Possibilité de location couplée avec le cuvier.
Accès cuisine traiteur • Wifi, toilettes, accès handicapés avec aide.

Le Cuvier
35 m2 • 30 places en amphithéâtre, 45 en cocktail.
Le trésor coloré de l’Engarran. Ancien cuvier du domaine au mur décoré de tuiles traditionnelles vernissées vertes, jaunes et ocre datant de plus de deux siècles. Cette pièce lumineuse et colorée orientée plein ouest plonge ses visiteurs dans l’ADN du domaine, le vin et l’activité viticole, avec sa terrasse privative donnant sur la cour.
Possibilité de location couplée avec le Cuvier, ou avec le Musée pour illustrer la vocation viticole ancestrale et disposer d’une salle de cocktail et d’une sortie privative sur le parc.
Accès cuisine traiteur • Wifi, toilettes, accès handicapés.

Le Musée du vin
38 m2 • 20 places en amphithéâtre, 30 en cocktail.
Pièce voûtée 17e de forme allongée, elle fut autrefois une écurie pour les mules de trait. Transformée en musée du vin, elle fait revivre l’art de la vigne et du vin depuis 150 ans. À température naturellement contrôlée, elle sera l’écrin douillet des réunions en comité restreint ou d’une dégustation entre amis, une exposition… Elle fonctionne aisément en duo avec le cuvier pour un cocktail. Accès privatif au parc.
Wifi, toilettes.

Le Caveau
Voûte de passage entre le domaine viticole et la demeure de maîtres. On y circulait en calèche ou en charette, nobles et valets, entrée des comportes de vendanges et sortie des barriques. On y a roulé des foudres! Un pressoir lui sert de bar, des étagères de foudre sont restées accrochées au mur. Ouvert à la fois sur le château, sur la cour du domaine et sa cave, le caveau est au centre de la vie de l’Engarran. Le Caveau a gardé sa vocation de passage : de la production à la dégustation, de la dégustation à la vente, de la vente à la visite, passage obligé pour entrer dans la « famille l’Engarran ».

Tarifs et réservations
Isabelle Bely, sommelière, gère les réservations des salles et les demandes de devis : 04 67 47 00 02 •
SCEA du Château de l’Engarran – Route de Juvignac – 34880 Lavérune – France.
À propos du Château de l’Engarran
L’histoire du domaine démarre en 1632, date de création du Château de l’Engarran, Folie du 18e siècle classée Monument Historique, et de son vignoble. La famille Bertrand/Grill l’acquiert en 1923 pour exprimer à travers ses vins le meilleur d’un terroir de cailloux roulés. Deux soeurs sont aux commandes du Château de l’Engarran depuis 30 ans : Diane Losfelt la vigneronne (ingénieure agronome) et Constance Rérolle en charge de la commercialisation (Sciences Po Paris).
Le Château de l’Engarran est qualifié Agriculture Raisonnée depuis 2004 (ASCERT, Terra Vitis®). La Charte Terra Vitis® intègre de nombreuses spécificités bio. Son cahier des charges implique le respect du terroir, de la société et du consommateur, la protection de la vigne et de la récolte et l’engagement à innover et à évoluer.

Le travail de sélection parcellaire sur le domaine, la recherche d’identité terroir et la démarche de viticulture durable et respectueuse de son environnement permettent à Diane et à Constance de proposer, au travers de leurs vins rouges, blancs et rosés, la déclinaison des terroirs Languedoc, Grés de Montpellier, Saint-Georges-d’Orques et Pays d’OC IGP.
Au total 6 vins en IGP, 8 en AOC et 1 en vendanges tardives. Spécificité : 3 cuvées en magnum.
La Gamme « phare » :
• Le Château en rouge et rosé,
• La cuvée Quetton, expression du terroir de Saint-Georges-d’Orques,
• La Lionne, excellence au sein du Pays d’Oc en rouge et blanc,
• Sainte Cécile en Languedoc.
Le domaine en chiffres
• Superficie du vignoble : 60 hectares.
• Nombre de salariés : 9.
• CA 2014 : 1.45 million euros.
• Nombre de bouteilles vendues : 220 000, dont 22% à l’export.
Version texte PDF du communiqué en téléchargement.
contact presse : Karine Baudoin – 04 67 40 36 77 – 06 30 08 42 14.




Première étape au camp de Rivesaltes, où l’on s’apprête à honorer la mémoire des prisonniers juifs, espagnols et nord-africains. Un Mémorial ouvrira à l’automne : sa directrice, l’architecte et un historien croisent leurs regards sur ce futur espace qui doit être à la hauteur de l’Histoire. « On dirait le Sud » part ensuite à la rencontre de deux plasticiens dans la Villa Laurens, à Agde. Leurs œuvres vont habiller un salon de musique devenu impossible à restaurer. Plus à l’Est, le quartier Antigone de Montpellier, son architecture néo-classique signée Ricardo Bofill. La réalisatrice capte la parole des habitants et les réactions des visiteurs sur ce quartier inventé devenu vrai lieu de vies. Loin de la ville, nous partons alors dans les Cévennes gardoises visiter la maison du designer Pierre Paulin, expression d’un art de vivre fondé sur la recherche de l’équilibre, de la douceur et de la paix. Destination suivante, l’abbaye d’Aniane dans la vallée de l’Hérault. Le paysagiste japonais Kinya Maruyma, en résidence d’artiste, dessine un jardin dans cette ancienne abbaye bénédictine devenue au 19e siècle un centre pénitentiaire pour enfants. Le patrimoine culturel, ce sont aussi les traditions. « On dirait le Sud » en témoigne dans un film consacré aux arènes démontables installées, le temps d’une corrida ou d’une course camarguaise, dans les villages du Gard et de l’Hérault. Le magazine revient dans les Pyrénées-Orientales pour un final au Château de Salses en compagnie du plasticien et cinéaste Ange Leccia venu présenter des vidéos emblématiques de son travail sur les murs de la forteresse.





Le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Hérault et le comité d’organisation des 20 ans du Club des Créatrices lancent un concours de graphisme pour la journée anniversaire du Club prévue en novembre 2015. Les postulant-e-s ont jusqu’au 26 juillet pour proposer un visuel destiné à illustrer les 20 ans du Club. Leurs sources d’inspiration : l’entrepreneuriat féminin et les réseaux socio-économiques.
Le CIDFF de l’Hérault et les entrepreneuses du Club des Créatrices préparent les 20 ans du Club pour l’automne prochain. Première étape : un concours de création graphique qui permettra aux organisatrices d’éditer l’affiche de l’événement et d’en assurer la promotion sur les réseaux sociaux. Ce concours est ouvert « à toute personne physique ou morale, graphiste, infographiste, étudiant en graphisme ou ayant tout simplement un sens esthétique et graphique ». Les propositions reçues jusqu’au 26 juillet et conformes au
Bacchus Afterwork le 4 juin 2015
pensés pour renforcer l’estime de soi et la visibilité des publics de l’association, qui ont souvent intériorisé l’exclusion sociale qu’ils vivent au quotidien. ACCEPTESS-T organise ainsi des séances bihebdomadaires d’Activités Sportives Adaptées (APA) en piscine réservées aux femmes trans vivant avec le VIH, et des cours de zumba mensuels en milieu carcéral. Avec l’initiative Eaux Z’ons le Genre, des trans peuvent associer toutes les personnes intéressées par les questions de transidentité à des sessions d’activités aquatiques libres et conviviales, qui permettent de renforcer l’intégration et la visibilité des trans. Enfin, ACCEPTESS-T soutient la formation et l’entraînement des équipes de volley-ball et de football Paris-TSG (Groupe Sportif Transgenre de Paris). Ces équipes peuvent ainsi participer à des évènements et des compétitions sportives conviviales avec différentes équipes et associations sportives en France et en Europe.






