Futurapolis Planète 2020 s’adapte et devient 100% digital

Paris, le 3 novembre 2020

Malgré la crise sanitaire qui touche toute la France depuis maintenant plusieurs mois, Le Point et ses partenaires, la Région Occitanie et la Métropole de Toulouse, ont souhaité assurer la tenue du forum Futurapolis Planète. Ainsi l’organisation de ce rendez-vous majeur de l’innovation s’adapte aux mesures actuelles et devient 100% digitale. Les 12, 13 et 14 novembre prochains, tous les publics que fédère cet évènement pourront suivre les nombreuses conférences sur les réseaux sociaux du Point et du Point Innovation et sur LePoint.fr.

L’humain peut-il jouir sans entraves d’une planète aux ressources limitées ? C’est la question à laquelle les intervenants tenteront de répondre à distance lors de Futurapolis Planète. Ce Forum invite le public à prendre part à la construction du monde de demain à travers des conférences et débats.

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La conférence de presse à suivre en direct
La conférence de presse de lancement de Futurapolis Santé, en présence de Nadia Pellefigue, Vice-Présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Dominique Faure, Vice-Présidente de Toulouse Métropole et de Etienne Gernelle, Directeur du Point, est à retrouver en direct :

Jeudi 5 novembre à 12h00
Inscription journalistes : https://zoom.us/webinar/register/WN_pN57fTeATsOdX6duNF7dKg

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Les inscriptions restent ouvertes !
Le grand public, initié ou non à Futurapolis Planète, est invité à s’inscrire dès à présent aux conférences digitales sur le site Internet de l’événement :
https://www.futurapolis.com/inscription

Futurapolis Planète : un événement 100% digital
Pour maintenir cette nouvelle édition et rendre toujours plus accessible son contenu, Futurapolis Planète poursuit sa digitalisation. Depuis le Quai des Savoirs, où seront orchestrées les différentes sessions de conférences, les intervenants débattront et échangeront à distance sur des thématiques fortes.

Un programme original porté par de nombreux intervenants de renom
Elaboré par les journalistes du Point, le programme de Futurapolis Planète comptera cette année encore des chefs d’entreprises, des entrepreneurs, des responsables politiques et des spécialistes des questions liées à l’environnement :
Jean Tirole, économiste, prix Nobel d’économie 2014
Paul Seabright, chercheur à la Toulouse School of Economics
Corinne Lepage, avocate et femme politique française
Eric Fottorino, écrivain et ancien directeur du Monde
Axelle Lemaire, ancienne secrétaire d’Etat en charge du numérique et de l’innovation
Michelle Kelly-Irving, chercheuse à l’Inserm
Olivier Tesquet, journaliste à Télérama et auteur de « À la trace »
Chantal Jouanno, présidente de la Commission Nationale du Débat Public, ancienne ministre
François Gabart, navigateur français, vainqueur du Vendée Globe en 2013, recordman du Tour du monde en solitaire,
Kito de Pavant, navigateur français, vainqueur de la Solitaire du Figaro
David Goodhart, professeur de science politique, auteur de Les Deux Clans, la nouvelle fracture mondiale (Les Arènes)
– Et bien d’autres personnalités…

Nouveauté 2020 : La Factory, digitalisée et accessible à tous
Cette année, la Factory s’intéresse à la Responsabilité Sociétale des Entreprises avec, pour point d’orgue, la présentation du 1er Palmarès de la RSE du Point. Pour cette nouvelle édition 2020, La Factory s’ouvre à tous les publics et sera également entièrement accessible en live ! Dès 17h le 12 novembre, chefs d’entreprises, cadres dirigeants, responsables politiques et grand public pourront suivre sur les réseaux sociaux du Point et du Point Innovation, de nombreuses prises de paroles et conférences sur cette thématique.

On en parle à Futurapolis Planète…
#Planète, #Economiedurable, #Occitanie, #RSE, #Villes, #Croissanceverte, #Ecologie, #Océans, #Avion, #Changementclimatique, #Developpementdurable, #Terre, #Nucléaire, #Vélo, #Energie, #Environnement, #Mobilitésdouces, #Liberté, #Toulouse, #Entreprises

À propos de Futurapolis : https://www.futurapolis.com
Créé par Le Point à Toulouse en 2012, Futurapolis est un rendez-vous de l’innovation référent en France. Il accueille chaque année plus de 10 000 visiteurs, dirigeants d’entreprise, étudiants, startups et grand public passionné de technologie. Pour cette nouvelle édition, Futurapolis devient Futurapolis Planète et se consacre à l’avenir de la Terre. Son nom évolue également et devient ainsi Futurapolis Planète. Chefs d’entreprise, scientifiques, intellectuels mais aussi personnalités publiques et citoyens engagés sont invités à réfléchir et à débattre sur l’avenir à court et à long terme de notre planète… Futurapolis c’est aussi une newsletter mensuelle et une rubrique dédiée sur le site du point : https://www.lepoint.fr/futurapolis/

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Contacts Presse :
• Paris : Agence WEAD • Cécilia Florio • 06 02 17 42 03.
• Toulouse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.

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Futurapolis Planète est organisé par Le Point, en partenariat avec la Région Occitanie et Toulouse Métropole.

Le Point remercie les partenaires de Futurapolis Planète : Axa, Agefiph, CEA, CNRS, EDF, Eiffage, Enedis, Guerbet, Inserm, Quai des savoirs, Santéclair, Sicoval, Toulouse School of Economics, Université Fédérale de Toulouse, Veolia.

 

Futurapolis Santé – Tout savoir sur la Covid-19 : ouverture des inscriptions

Liberté, santé, immunité ! La 4e édition de Futurapolis Santé, le grand rendez-vous organisé par Le Point, en partenariat avec la Ville de Montpellier et Montpellier Méditerranée Métropole, sera consacrée à l’immunité dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. Les 9 et 10 octobre prochains, à Montpellier, l’ensemble des experts présents tireront les enseignements de cette crise sanitaire. À travers des tables rondes, de grands entretiens, des ateliers et un espace de formation, ce forum gratuit sur inscription en ligne, offrira toutes les clés pour penser la santé de demain.

Les inscriptions sont ouvertes au grand public !
Les inscriptions sont ouvertes ! Le grand public, initié ou non à Futurapolis Santé, est invité à s’inscrire dès à présent sur le site internet de l’événement : https://www.futurapolis-sante.com/inscription/

Futurapolis Santé : un événement physique et digital
Pour rendre toujours plus accessible le contenu de son forum, Futurapolis Santé accélère sa digitalisation. En plus de l’événement physique qui se tiendra à l’Opéra Comédie de Montpellier, le public aura la possibilité de suivre les conférences, tables rondes et ateliers, en live sur les réseaux sociaux du Point et du Point Innovation et lors de webinars dédiés.

Un programme riche et de nombreux intervenants de renom
Cette année encore, Futurapolis Santé, élaboré par les journalistes du Point, accueillera médecins, chercheurs et soignants, responsables sanitaires et politiques :

• Thomas Le Ludec, directeur général du CHU de Montpellier
• Aurélie Jean, docteur en sciences et entrepreneur
• Bertin Nahum, président et fondateur de Quantum Surgical
• Odile Launay, professeur infectiologue à l’hôpital Cochin à Paris
• Pr Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’université de Paris
• Pr François-Olivier Touati, doyen de la faculté des Art et Sciences humaines de Tours
• Jeanne Siaud-Facchin, psychologue clinicienne et psychothérapeute à Paris
• Jérôme Guedj, chargé d’une mission sur l’isolement des personnes âgées confinées
• Roxana Ologeanu-Taddéi, maître de conférence habilité à diriger des recherches en sciences de gestion à Polytech Montpellier
• Et bien d’autres personnalités…

La galerie de la découverte et une nouveauté pour l’édition 2020
Futurapolis Santé invite le public à visiter la « Galerie de la découverte », un lieu de démonstration installé au sein de l’Opéra.
Pour cette 4e édition, Futurapolis Santé inaugure une nouveauté : deux espaces d’échanges et de formation seront ouverts au public. Un univers zen, où les intervenants feront découvrir les bonnes pratiques à adopter pour préserver son immunité, notamment grâce à une bonne alimentation, à la méditation, ou encore au yoga.
Un second dédié à la formation, proposera plusieurs sessions, dont certaines réservées aux étudiants, sur les métiers de l’hôpital, de la recherche, du droit et de la santé ou encore sur le métier de psychologue.

On en parle à Futurapolis Santé…
#Covid-19, #Antiviraux, #Hôpitaux, #Epidémie, #Immunité, #Confinement, #Déconfinement, #Vaccins, #Téléconsultation, #Environnement, #Economiedelasanté, #Politiquedesanté, #Santépublique, #Dépistage, #Seniors, #Aidants

Plus d’informations sur le site futurapolis-sante.com

À propos de Futurapolis Santé
Créé par Le Point à Montpellier en 2017, Futurapolis Santé est le forum de référence dédié à la santé et à l’innovation. Les débats, pensés et animés par les équipes du Point, se font l’écho des nombreuses prouesses et avancées dans le domaine de la médecine et de la science. Avec de nombreux intervenants de référence, ce forum est un lieu de partage et de découverte. Futurapolis Santé est aussi une rubrique dédiée sur le site du point : https://www.lepoint.fr/futurapolis/

Contacts presse :
• Agence WEAD : Cécilia FLORIO, 06 02 17 42 03.
• À Montpellier : Karine BAUDOIN, 06 30 08 42 14.

Futurapolis est organisé par Le Point, en partenariat avec Montpellier Méditerranée Métropole et la Ville de Montpellier.

Bruno Bisaro sort son deuxième album, « Bruno Bisaro & Les Ouragans Gris »

Auteur-compositeur-interprète, Bruno Bisaro sort son deuxième album, Bruno Bisaro & Les Ouragans Gris. Figure singulière dans le paysage musical actuel, représentant assumé de la culture alternative francophone, Bruno Bisaro propose un roman musical où se côtoient chansons d’inspiration traditionnelle ou contemporaine, spoken word, poésie sonore, théâtre protestataire…

Après Beaujeu (paru en 2013), le deuxième album de Bruno Bisaro est une expérience musicale et littéraire inédite, née d’une collaboration avec Julien Vonarb, réalisateur et arrangeur de l’album. Bruno Bisaro & Les Ouragans Gris est à la fois le titre de l’album et une signature collective aux influences multiples.

Le CD est disponible à la vente à 17 euros TTC sur la boutique en ligne des Productions Bruno Bisaro ; l’album digital le sera le 13 mai 2020 sur toutes les plateformes de streaming et de téléchargement musical.

De la culture d’avant-garde à la culture pop

Si la chanson est au cœur de la proposition artistique de Bruno Bisaro & Les Ouragan Gris, dans des variations traditionnelles ou d’inspiration plus actuelle et contemporaine, d’autres esthétiques se côtoient dans ce nouvel album : spoken word, poésie sonore, théâtre protestataire…
Bruno Bisaro rend hommage à son ami Alain Moisset (chanteur du groupe punk-rock Via Viva dans les années 80, réalisateur de son premier album et compagnon de route) mais aussi aux amis disparus, et à ceux disparus récemment.
Sa voix est parfois supplantée par d’autres voix, comme celle du songwriter Phil Ochs. Au chant mélancolique qu’accompagne un violon tsigane succèdent une ballade folk-rock, un refrain de musique pop…

Un roman musical

Les comédiens Frédéric Cuif et Charlotte Costes-Debure interprètent les paroles parlées, aux accents beaucoup plus sombres que les paroles chantées, comme autant de poèmes de circonstance, à la place de Bruno Bisaro lui-même. Ils deviennent en quelque sorte les véritables narrateurs de ce roman musical.
Comme dans une épopée, le chant est avant tout celui des lieux traversés (Marseille, Vitry, l’Europe…) et celui des lieux du rêve. Il est adressé aux personnages rencontrés (« Marie » pour ne citer qu’elle et qui donne son titre à l’une des chansons qui ouvrent l’album) comme il est adressé à soi-même…
L’orchestration de Julien Vonarb permet au « roman » d’exister dans toute sa plénitude, offrant au chanteur et à ses musiciens, la possibilité de se réinventer, chapitre après chapitre. Le roman se métamorphose ça et là en musique de jazz, en musique de cinéma…

 

BRUNO BISARO & LES OURAGANS GRIS
© Les Productions Bruno Bisaro • Édition : Bruitage • 2020

Paroles et musique : Bruno Bisaro
(à l’exception de VIII, IX et XIII)
Durée de l’enregistrement : 53’ environ.

I. Phrase
II. Je viens
III. Marie
IV. J’ai paradé
V. Les Ouragans Gris
VI. Premier Amour
VII. Étranger à demeure
VIII. He was a friend of mine – Chanson folk traditionnelle
IX. Vitry – Musique : Alain Moisset
X. As-tu croisé la Vieille Europe ?
XI. Nos jours meilleurs – Interprète : Charlotte Costes-Debure
XII. Nice – Interprète : Frédéric Cuif
XIII. There but for fortune – Paroles et musique : Phil Ochs

Chant / Bruno Bisaro
Voix parlées / Charlotte Costes-Debure, Frédéric Cuif
Guitares, chœurs / Julien Vonarb
Basse / Adrien Estournel
Batterie / Aurélien Ouzoulias
Violons / Charles Dubrez
Piano, orgues / Mathieu Debordes
Ingénieur du son / Anthony Arconte


Ils en parlent

« Bruno Bisaro & Les Ouragans Gris sonne comme la Nouvelle scène française des 90’s ; y planent les fantômes de Geneviève Pastre et Yves Navarre. » (WAG MAG, mars 2020, et blog Chroniques d’Aliénor)

« L’artiste nous raconte ses histoires d’amour et ses regrets dans ce morceau tout à fait prenant et reposant. » (Longueur d’ondes, janvier 2020, à propos de « J’ai paradé »)

J’ai paradé – Un film de Bastien Simon

Le 6 octobre 2019 est paru le clip de la chanson «  J’ai paradé  » réalisé par le cinéaste Bastien Simon avec Dimitri Gouinguenet, Geoffrey Couët, Charlotte Costes-Debure.

 

BIO EXPRESS BRUNO BISARO

© Tina Merandon

Bruno Bisaro est né en 1974. Formé au théâtre à l’Atelier international de théâtre de Blanche Salant et Paul Weaver, il est comédien, poète, chanteur et auteur dramatique. À Marseille, il rencontre Richard Martin et les « anars » du théâtre Toursky. Ami de la poétesse Geneviève Pastre, qui publie son premier livre L’intrépide Bruno Bisaro en 2005 et avec qui il anime une émission sur Radio Libertaire pendant plusieurs années, il adapte au théâtre l’un de ses poèmes majeurs : Octavie ou la deuxième mort du Minotaure.
Auteur, compositeur, interprète, il est sélectionné en 2009 par Didier Desmas au festival « Les Décalages d’hiver » dans la catégorie Chanson d’avant-garde, nouveaux langages. Artiste pluridisciplinaire, il participe à de nombreuses rencontres théâtrales, musicales, littéraires en France et à l’étranger. Il a joué récemment dans La Mouette d’Anton Tchékhov et collaboré à un spectacle consacré à Marina Tsvetaïeva. Il sort son deuxième album Bruno Bisaro & Les Ouragans Gris en mai 2020 tout en travaillant sur deux projets autour d’Yves Navarre  : nouvelle mise en scène de la pièce de théâtre Les Valises avec les comédiens Hélène Arié et Jean-François Chatillon, et création d’une performance mêlant chant, poésie et théâtre avec Inès Hammache, d’après les poèmes d’Yves Navarre Chants de tout et de rien, Chants de rien du tout.

« Faire paraître cet album est sans doute la meilleure chose que j’ai à faire aujourd’hui. Car c’est bien le moment de chanter par-dessus les toits ! »

 


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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.

 

Une pétition pour sauver le site archéologique et le patrimoine local du Cailar

Collectif pour la préservation du site archéologique du Cailar, le 28 novembre 2019.
Un projet de construction de lotissement au Cailar, en Camargue gardoise, menace le patrimoine communal, en particulier un site archéologique de notoriété internationale. Un collectif de citoyens vient de lancer une pétition pour appeler les élus locaux ainsi que les ministres de la culture et des territoires à valoriser ce patrimoine remarquable.
Depuis 2016, la commune du Cailar a pour projet de construire un lotissement résidentiel comprenant des logements sociaux sur un terrain proche du cimetière. Ce programme immobilier met pourtant en péril un site archéologique fouillé depuis près de 20 ans, témoin de dizaines de siècles d’occupation, du Premier âge du Fer à l’époque romaine, puis du Moyen Âge à nos jours. « Le premier projet de lotissement a dû être annulé, témoigne Réjane Roure, maître de conférences à l’université Paul Valéry Montpellier 3. Mais en dépit de la mobilisation des archéologues et de la population, la mairie en a autorisé un deuxième, alors même que le code de l’urbanisme prévoit la possibilité de préserver ce site archéologique remarquable. Un recours a été déposé contre ce nouveau permis. » Ophélie Laboury-Barthez, entrepreneure à l’origine de la mobilisation citoyenne avec Réjane Roure, ajoute que le site visé par ce projet immobilier est classé Natura 2000 et inscrit dans les zones de transition de la réserve de Biosphère de la Camargue. « Il est aussi proche de constructions architecturales reconnues et soutenues par la fondation du patrimoine… ».
Les auteures de la pétition, soutenues par la communauté scientifique, proposent un projet de « musée de la Camargue gardoise présentant l’évolution du paysage, les vestiges archéologiques et les traditions taurines (courses camarguaises) qui trouvent leur origine sur l’ancienne lagune qui permettait aux navires de débarquer leurs marchandises en provenance de toute la Méditerranée. »

Chantier de fouilles archéologiques du Cailar en 2015

Le port protohistorique et antique du Cailar : un site exceptionnel
Les découvertes archéologiques et géo-archéologiques menées au Cailar permettent d’affirmer que le site était un très important port lagunaire durant tout l’âge du Fer, précurseur d’Aigues-Mortes. Elles participent à l’histoire complexe du delta du Rhône. Ces recherches ont véritablement débuté en 1998 par la collecte d’un grand nombre de céramiques. Une opération archéologique en 2000, dans le cimetière du village, a permis d’observer une accumulation stratigraphique et un matériel céramique très importants. Réjane Roure a pris la direction des fouilles en 2002, mettant notamment en évidence l’existence d’un rempart en pierres datant du VIe siècle av. J.-C. — le plus ancien retrouvé dans le Gard — et fonctionnel jusqu’à l’époque romaine. En 2014, des prospections géophysiques réalisées entre le cimetière et les arènes ont révélé une présence très dense de vestiges bâtis. Le diagnostic mené par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) en 2017 a confirmé la présence d’un habitat de type urbain très densément occupé pendant plus de neuf siècles de façon continue, avec également des vestiges médiévaux et modernes de grande qualité.
Pétition en ligne sur Change.org : http://bit.ly/petition-cailar-patrimoine

Chantier de fouilles archéologiques du Cailar en 2019

 
 

Stella Surgical Prix Initiative Start-up 2019 du Rotary Club Montpellier Méditerranée

Le Rotary Club Montpellier Méditerranée a distingué trois créateurs d’entreprises innovantes montpelliéraines mardi 2 juillet 2019. Clément Labiche, président de Stella Surgical, a reçu le Prix Initiative Start-up 2019. Les technologies avancées de Stella Surgical ont conduit au développement de l’application smartphone e-Stella, un outil d’aide à la décision unique au monde qui quantifie et évalue avec précision, à partir d’une simple photo et de données biologiques, la qualité d’un greffon de foie humain en vue d’une transplantation. E-Stella est muni d’une intelligence artificielle afin de permettre au machine learning d’offrir des réponses toujours plus précises.
Le Rotary Club Montpellier Méditerranée a aussi récompensé les deux autres finalistes du concours :
• Mathilde Perraud , présidente de la start-up Budd’it
Budd’it s’adresse aux acteurs qui possèdent des établissements physiques et qui proposent des expériences à vivre : commerces, hôtels, restaurants, sites touristiques. Ses solutions leur permettent d’interroger les visiteurs pendant leur visite sur les lieux : sondages géolocalisés, audits qualités, enquêtes de satisfaction. L’objectif est d’identifier les irritants dans ces lieux d’interaction afin d’améliorer l’expérience vécue avec l’entreprise.
• Clément Content, président de la start-up Koovea
Koovea commercialise des solutions permettant de sécuriser le suivi de température des biotechnologies sur l’ensemble de la chaîne logistique. Ciblant les acteurs de la biotech, de la cosmétique, de l’agroalimentaire (et tout acteur soumis aux contraintes de la chaîne du froid), elle garantit aux utilisateurs des produits viables et non dangereux. Cela évite aussi aux entreprises des pertes financières importantes, compte tenu du coût des produits.
Ces trois prix ont été remis par les entreprises partenaires – le Cabinet Cazes Goddyn, PVB Avocats et Weda – en présence de M. Gérard Lannelongue, conseiller de Montpellier Méditerranée Métropole et Isabelle Prévôt, directrice du Business Innovation Center de Montpellier.

Clément Labiche, Stella Surgical (4e sur la photo), Prix Initiative Start-up 2019 du Rotary Club Montpellier Méditerranée aux côtés de Mathilde Perraud, Budd'it (5e) et Clément Content, Koovea (7e)

Depuis six ans, le Rotary Club Montpellier Méditerranée organise le concours Initiative Start-up, en partenariat avec le BIC de Montpellier Méditerranée Métropole, pour récompenser des jeunes entrepreneurs dont le projet est en phase avec les valeurs du Rotary. Le lauréat bénéficie d’une aide financière de 2 000 euros, d’un accompagnement d’une année par les membres de la commission professionnelle du Rotary Club Montpellier Méditerranée ainsi que d’une ouverture sur son réseau national et international (1,2 millions de membres dans le monde). Cet accompagnement vaut aussi pour les deux autres finalistes, qui reçoivent chacun un chèque de 800 euros. De plus, cette année, le nouveau partenaire du concours l’Espace Entreprise a offert une dotation de 500 euros aux trois entreprises à valoir pour l’hébergement dans ses locaux.
Contact presse Rotary : Antoine Calderini, 06 63 95 92 04.
 

Le photographe William Moureaux Meilleur Ouvrier de France : une première à Montpellier !

© William Moureaux

William Moureaux fait partie des cinq photographes à avoir remporté le concours de Meilleur Ouvrier de France 2018. Un titre rare puisqu’à ce jour il est le seul photographe montpelliérain à l’avoir jamais décroché, et le seul en Occitanie dans la catégorie Photographie portrait d’art pour la session 2018.
Plus de 130 candidats photographes étaient inscrits à la 26e édition du prestigieux concours de Meilleur Ouvrier de France qui titre une promotion tous les trois ans. Après un échec à quelques centièmes près en 2015, William Moureaux a obtenu son diplôme en fin d’année dernière et recevra sa médaille en mai prochain à la Sorbonne, avant une réception à l’Elysée. Pour convaincre un jury attaché à l’excellence et à l’innovation, il a constitué un dossier de sept photographies d’art aux sujets imposés : un reportage sur le vent et ses effets, une photographie de mariage en extérieur, une illustration de la maxime « une photo appartient à celui qui la regarde » et quatre portraits (jumeaux ou jumelles, portrait ethnique de jeune femme, jeune footballeur·se, motard·e).
MOF, la reconnaissance du savoir-faire du photographe
Installé rue Massane près de la place de la Comédie, William Moureaux réalise des portraits en studio et en entreprise ainsi que des photographies industrielles. Il pratique également la photographie aérienne et sous-marine. Il fait partie des huit photographes français à porter le titre prestigieux mais peu connu du grand public de Master Qualified European Photographer. Celui de Meilleur Ouvrier de France lui permettra de faire reconnaître à coup sûr son professionnalisme. Une nécessité pour émerger d’une nébuleuse d’amateurs qui s’improvisent photographes et perturbent l’image de ce métier. « Le numérique a bouleversé les usages, avec une hyper-démocratisation de la photographie » commente William Moureaux.
« Mais j’observe depuis deux ans un retour de mes clients au papier, et même à l’argentique. Je vends de plus en plus de tirages car on égare facilement une carte mémoire ; les disques durs, eux, s’endommagent… »
Très attaché à la transmission du patrimoine familial, William Moureaux incite ses clients à constituer des albums photos : « Celles et ceux de ma génération ont la chance d’avoir conservé les photographies de leurs parents et grands-parents. Que restera-t-il à leurs petits-enfants ? »
Bio express William Moureaux
William Moureaux, 45 ans, est installé à Montpellier depuis trois ans. C’est en Corse qu’il fait ses premières armes. Historien, il s’adonne à la photographie par plaisir et est repéré par un photographe professionnel. Devenu adhérent de la Fédération Française des Photographes et des Métiers de l’Image (ex GNPP), il se forme et crée son studio en 2004. En 2016, il reprend le studio de Didier Barthélémy à Montpellier.
Titres obtenus : Master Qualified European Photographer (2017), Meilleur Ouvrier de France (2018).
Site du studio : http://www.wmphotos.fr
 
Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

SeqOne reçoit le Prix Initiative Start-up 2018 du Rotary Club Montpellier Méditerranée.

Le Rotary Club Montpellier Méditerranée a distingué trois créateurs d’entreprises innovantes mardi 19 juin à la Maison des Relations Internationales. Le Dr Nicolas Philippe, président de la SAS SeqOne, a reçu le Prix Initiative Start-up 2018. Sa plateforme web d’analyse de données issues du séquençage génomique permet d’améliorer les rendements diagnostics et de prescrire aux patients atteints d’un cancer ou d’une maladie rare des traitements adaptés, tout en réduisant les coûts et le temps d’analyse. Le Rotary Club Montpellier Méditerranée a aussi récompensé les deux autres finalistes du concours : Li Li, dirigeant de la start-up IRISENSE (développement de dispositifs médicaux d’aide au diagnostic en exploitant le principe de la thermographie infrarouge) et Pierre Nectoux, CTO de WEFIGHT, co-créateur du compagnon virtuel Vik pour les patients souffrant d’un cancer. Ces trois prix ont été remis par les entreprises partenaires – le Cabinet CAZES GODDYN, PVB Avocats et WEDA – en présence de Mmes Chantal Marion, vice-présidente de la Métropole de Montpellier en charge du développement économique et Isabelle Prévôt, directrice du Business Innovation Center de Montpellier.

Depuis cinq ans, le Rotary Club Montpellier Méditerranée organise le concours Initiative Start-up, en partenariat avec le BIC de Montpellier Méditerranée Métropole, pour récompenser des jeunes entrepreneurs dont le projet est en phase avec les valeurs du Rotary. Le lauréat bénéficie d’une aide financière de 2 000 euros, d’un accompagnement d’une année par les membres de la commission professionnelle du Rotary Club Montpellier Méditerranée ainsi que d’une ouverture sur son réseau national et international (1,2 millions de membres dans le monde). Cet accompagnement vaut aussi pour les deux autres finalistes, qui reçoivent chacun un chèque de 800 euros.
Contact presse Rotary : Antoine Calderini, 06 63 95 92 04.
 

La troupe Little Bazar ouvre « Les Rencontres musicales du Pic » le 9 juin

L’association Les Voix du Pic inaugure son cycle de spectacles « Les rencontres musicales du Pic » le 9 juin 2018 à Combaillaux avec la troupe Little Bazar. Ses huit chanteurs revisiteront des succès de la chanson (française et internationale) avec peps et émotion. Deux autres rencontres sont annoncées en septembre et novembre prochains dans le même esprit : créer l’alchimie entre des artistes et leur public par la proximité et la passion partagée.

« Little Bazar fait son show » samedi 9 juin à 20h30, salle Occitanie à Combaillaux. Un grand spectacle joyeux et coloré durant lequel les huit chanteurs de la troupe mettront en scène et interpréteront des chansons françaises et internationales d’hier et d’aujourd’hui. « Je tenais à ouvrir Les rencontres musicales du Pic avec ces chanteurs amateurs originaires de Saint-Brès car je connais leur talent et je suis toujours étonnée de leur capacité à surprendre leur public, témoigne Véronique Poignard, créatrice du festival. Leurs concerts sont toujours très interactifs et provoquent beaucoup d’émotions, à la fois drôles et tendres ! »
La présidente des Voix du Pic souhaite par ailleurs utiliser les atouts de la salle Occitanie, « une vraie belle salle de spectacle à l’excellente acoustique », pour diversifier la vie culturelle de Combaillaux et du Grand Pic Saint-Loup avec des prestations artistiques accessibles et de qualité.
« Les rencontres musicales du Pic », trois spectacles en 2018.
La programmation de la première édition des « Rencontres musicales du Pic » s’étale de juin à novembre 2018. Le trio Braswing donnera « Des pinceaux dans la guitare » le 23 septembre, un spectacle qui mettra Georges Brassens à l’honneur, avec des clins d’œil à Jacques Brel et à Léo Ferré. Le 25 novembre enfin, Sébastien Chaperon chantera Jean Ferrat, un spectacle qui a rencontré un franc succès sur plusieurs scènes en France, à Paris notamment. Cet ensemble de concerts reçoit le soutien financier de la municipalité de Combaillaux et l’aide matérielle de son Comité des Fêtes.
« Little Bazar fait son show » • 9 juin 2018 à 20h30 • Tarif : participation libre.
Infos au 06 75 09 74 59 ou par mail voixdupic[at]gmail.com
À propos des Voix du Pic
Créée durant l’été 2017 à Combaillaux par Véronique Poignard, l’association Les Voix du Pic a pour objectif de promouvoir l’art vocal dans le secteur du Grand Pic Saint Loup par l’organisation de spectacles d’artistes amateurs et professionnels. Elle rassemble le groupe vocal Les Polisson’g et la chorale La Balajade, et organise le stage annuel de chant choral « Song à Sète » (initié dès 2015 par Véronique Poignard).
Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

Le Mur Païen, empreinte d’Hannibal en Alsace ?

Un Barrois passionné d’archéologie avance une théorie inédite sur l’origine du Mur Païen du Mont Saint Odile
Féru d’archéologie et de paléontologie, l’Alsacien Ivan Tzéplaeff a longuement étudié la plus importante construction mégalithique d’Europe, le Mur Païen du Mont Saint-Odile. Aujourd’hui, il livre sa théorie sur l’origine de cette enceinte vosgienne de 10,5 km de long, qui interroge autant les archéologues que les amateurs d’histoire comme lui. Selon Ivan Tzéplaeff, l’édification du Mur Païen serait l’œuvre d’une partie des armées du célèbre Hannibal Barca et daterait donc de la deuxième guerre punique (218-202 av. J-C.). Le stratège carthaginois, spécialiste de l’embuscade, aurait scindé ses troupes en deux dans la vallée du Rhône : une armée chargée de traverser les Alpes et de se positionner en Italie ; l’autre missionnée plus au nord, dans les Vosges. Ivan Tzéplaeff voit plusieurs intérêts à cette manœuvre : « Hannibal avait ainsi la possibilité de prendre les troupes romaines à revers ou en étau, selon l’option stratégique choisie par ses ennemis, tout en leur faisant croire que son armée était affaiblie. D’autre part, cette vallée était moins exposée à la météo pré-hivernale. Enfin, Hannibal disposait d’une armée de réserve fraîche venant du Nord… »
Des indices compatibles pointent sur l’épopée d’Hannibal
Si tous les spécialistes s’accordent sur le style dit Hellénique du Mur Païen, en mortaises et tenons en queues d’aronde, personne ne situe sa construction de façon précise : elle daterait d’une période comprise entre le VIe et le IIe siècle avant J.C. En partant du postulat que seule l’Armée d’Hannibal Barca était en mesure d’édifier un ouvrage aussi imposant que le Mur Païen à cette époque, Ivan Tzéplaeff oriente ses recherches vers Carthage et trouve deux indices concordants. D’une part les constructions décrites par M. Beulé*, qui a fait des fouilles importantes à Carthage en 1850, sont bâties selon les mêmes techniques que le Mur Païen. D’autre part la méthode de travail de la pierre utilisée pour l’édification du Mur est celle dont Hannibal se servit, dit-on, pour enlever un éboulement : brûler du bois sur la roche et verser du vinaigre dessus pour la faire éclater. Ajoutons que la présence de quelques 20.000 hommes dans les Vosges pourrait expliquer les mouvements de population à cette époque…
La théorie inédite et originale d’Ivan Tzeplaeff s’accorde avec l’audace d’un stratège comme Hannibal Barca et à son art de la guerre, et permettrait de dissiper les zones d’ombres qui subsistent sur les déplacements du Général carthaginois en Gaule et dans les Alpes. Cependant, cet amateur éclairé aimerait la soumettre à des chercheurs : « Ma réflexion n’est qu’un point de départ à une investigation beaucoup plus poussée qui prendra du temps pour en confirmer tous les aspects ! » 

* cité par Eugène Henneber dans son Annibal

Contact : Ivan  Tzéplaeff – 06 45 50 03 31.
 

Femmes entrepreneures : osez vivre de votre travail !

Communiqué – 6 mars 2012
Les revenus non-salariés des femmes seraient en moyenne 40% plus faibles que ceux des hommes. Le temps consacré au travail justifierait la moitié de cet écart. Selon Martine Viguier, consultante en entrepreneuriat féminin, la disparité de revenus prend sa source dans les mentalités. Les femmes doivent être plus audacieuses pour bien vivre de leur travail.

Selon une étude de l’INSEE* de 2009 passée inaperçue, l’écart de rémunération entre hommes et femmes travailleurs et travailleuses indépendant(e)s est de 40% en moyenne (20% à 80% d’écarts, selon les paramètres pris en compte). L’analyste de l’INSEE Florent Favre n’explique que 20% de ces écarts sur la base du temps consacré à l’activité, moins important pour les femmes que pour les hommes. Les autres paramètres influant sur les écarts seraient le secteur d’activité, l’ancienneté comme non-salarié(e), l’âge, la pluriactivité et la taille de l’entreprise. « Notre éducation chargée de stéréotypes, la structuration de notre monde encore majoritairement patriarcal, patrilinéaire et patrimonial et la disparité de répartition des tâches domestiques et familiales font le reste… des écarts ! » commente Martine Viguier, consultante indépendante spécialiste de l’entrepreneuriat féminin. Selon elle, la plus haute barrière à franchir se trouve dans la tête des femmes et des hommes, ainsi que dans leur représentation du monde économique où les femmes sont (ou se sentent) dans l’invisibilité. « Le fait qu’elles soient femmes et majoritairement en charge de petites entreprises (plus nombreuses dans les entreprises sans salarié) dessert leur visibilité et leur accès aux postes de représentantes du monde économique. »
De l’audace, encore de l’audace !
Martine Viguier souligne surtout le manque de confiance en soi exprimé par les femmes qui veulent créer leur entreprise, même quand elles ont un niveau d’étude supérieur, un savoir-faire validé et un projet viable. « C’est comme si elles se sentaient moins légitimes sur le terrain économique ! » Les chiffres sont révélateurs : en France, 50% de femmes et d’hommes ont un projet de création au départ, et à l’arrivée seulement 30% de femmes créent leurs entreprises.
Les femmes sont moins enclines que les hommes à prendre des risques, à demander des capitaux, à rechercher un pouvoir, à valoriser leurs compétences et savoir-faire sur le marché. Oser serait donc le levier à activer pour exprimer leur choix, pour facturer le prix réel de leur travail (sous-évaluation chronique), pour valoriser leurs compétences, pour laisser leur place à la maison (tâches domestiques et familiales), pour exprimer leurs voix dans une assemblée, pour être chef et développer leurs entreprises. Oser serait enfin essentiel pour servir d’exemple… Car « pour se projeter, il faut des modèles ou exemples qui ont osé. Celles qui osent ici sont des exemples pour les femmes d’ici et pour toutes les femmes du monde. »
* Les revenus d’activité des indépendants, INSEE 2009Dossier « Hommes – femmes, des différences de revenu sensibles pour les non-salariés »- Florent Favre.
Retrouvez le billet intégral de Martine Viguier sur www.elleveutoo.fr.