Les business angels de l’Hérault et du Gard sur le terrain pour épauler et détecter des start-up prometteuses

Pour la 17e Semaine nationale des Business Angels, MELIES Business Angels privilégie les actions de terrain. Le réseau montpelliérain d’investisseurs privés mobilise ses adhérents et les antennes qu’il parraine à Béziers et à Nîmes pour aller à la rencontre des futurs créateurs et créatrices d’entreprises. Speed dating, conseils d’experts : les rendez-vous s’échelonneront du 1er au 9 décembre. 

Les investisseurs privés membres de MELIES Business Angels (MBA) et des antennes d’Occitanie Angels à Béziers et à Nîmes ont décidé de partager leur expérience et leur passion pour l’entrepreneuriat et l’innovation avec celles et ceux qui souhaitent se lancer dans l’aventure de la création. Les business angels de l’Hérault et du Gard organisent ainsi trois sessions de rencontres avec des graines de startuppeurs à Béziers (le 1er décembre), à Montpellier (le 2 décembre) et à Nîmes (le 9 décembre). 

Speed dating avec les créateurs à Nîmes et à Béziers

Les animateurs nîmois et biterrois des antennes d’Occitanie Angels proposent des demi-journées de speed dating entre business angels et créateurs d’entreprises ou porteurs de projet. Ces sessions permettront aux futurs entrepreneurs d’avoir un regard neuf sur leur projet et de bénéficier d’un premier avis constructif. « Nos membres gardent aussi à l’esprit notre volonté de détecter des jeunes pousses que nous pourrions financer à l’amorçage, notamment dans le secteur de l’environnement » précise Jean-Paul Alic, président de MBA et d’Occitanie Angels. Ces opérations sont menées en partenariat avec le Medef Hérault Béziers et Innovosud à Béziers ; à Nîmes, dans la continuité d’une matinée de Leader Nîmes et Fintouch au BIC Innov’up.

Speed dating et conseils experts à Montpellier

Les Montpelliérains de MELIES Business Angels, rodés à l’exercice du speed dating, ont décidé cette année de le compléter par des rendez-vous avec les professionnels partenaires de leur réseau. Ces experts apporteront des conseils sur-mesure et par spécialité : comptabilité, gestion, finance, management, questions juridiques, communication. La journée est soutenue par le BIC de Montpellier Méditerranée Métropole.

Semaine des Business Angels, trois rendez-vous dans l’Hérault et dans le Gard

• 1er décembre à Innovosud à Béziers : séances de speed dating de 14h à 17h.
• 2 décembre au MIBI, à Montpellier : séances de speed dating et rendez-vous experts de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 16h30
• 9 décembre au BIC Innov’Up à Nîmes : séances de speed dating l’après-midi.


Inscription obligatoire sur https://melies.fr/speed-dating-melies-business-angels-2022/


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Contact presse : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14.

Des business angels nîmois se mobilisent sous la bannière Occitanie Angels

MELIES Business Angels (Montpellier) soutient la création de la première antenne locale gardoise d’investisseurs privés de la fédération régionale Occitanie Angels. Depuis Nîmes, ces business angels se donnent pour mission de mobiliser leurs pairs, à l’écoute des besoins en financement des créateurs d’entreprises innovantes de Nîmes et de sa région.

Jacques-Thierry Monti

Nîmes et sa région comptent désormais une antenne locale d’Occitanie Angels, structure fédérant les réseaux de business angels de la région. Animé par Jacques-Thierry Monti, le groupe d’investisseurs nîmois est coaché par Patrice Vignon, représentant du réseau montpelliérain MELIES Business Angels. Ses membres ont pour objectif de contribuer au développement économique de leur territoire en repérant et en finançant des porteurs de projets innovants ayant des besoins de fonds d’amorçage. « Les projets que nous détecterons localement seront soumis au deal flow de notre structure marraine MELIES Business Angels, précise Jacques-Thierry Monti. Si leur instruction est validée, le groupe d’étude comprendra un ou des membres de l’antenne de Nîmes. » Le groupe nîmois en appelle à toutes celles et tous ceux qui souhaitent investir au profit de l’économie locale à renforcer ses rangs pour travailler ensemble sur des dossiers de start-up prometteuses.

La Région Occitanie encourage la création d’antennes de business angels
La convention de partenariat signée entre Occitanie Angels et la Région Occitanie en 2020 engage les réseaux existants de business angels à essaimer dans les villes moyennes. Capitole Angels (Toulouse) porte des projets de création d’antennes dans l’ouest de la région, MELIES Business Angels prend en charge l’est de l’Occitanie. L’antenne de Nîmes est la première à se constituer avant Perpignan et Béziers, actuellement à l’étude chez MELIES Business Angels. Capitole Angels de son côté prospecte dans le Tarn et dans le Gers.

Pour rejoindre l’antenne nîmoise d’Occitanie Angels :
Jacques-Thierry Monti • jt.monti[at]live.fr

À propos de MELIES Business Angels et Occitanie Angels
Depuis sa création à Montpellier en 2006, MELIES Business Angels a rassemblé plus de 290 investisseurs individuels dans le but de financer et d’accompagner de jeunes entreprises régionales à fort potentiel de croissance. Ces sociétés peuvent solliciter le réseau pour des besoins en financement compris entre 100 K€ et 1 M€. Labellisée par le ministère des PME/PMI et par iSource, l’association est membre de la fédération nationale France Angels. MELIES Business Angels est par ailleurs membre fondateur d’Occitanie Angels, avec Capitole Angels (Toulouse). Cette association loi 1901 créée fin 2016 fédère et représente les réseaux de business angels en Occitanie. • www.melies.frhttps://occitanie-angels.fr/

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Contact presse MELIES Business Angels: Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.

OPALIA inaugure le hameau des Cistes à Nîmes


Le promoteur immobilier OPALIA a inauguré la première tranche de son programme Les Cistes à Nîmes le 25 juin 2019, trois hameaux de 57 villas implantés dans le quartier du Carreau de Lanes. Le promoteur montpelliérain fait ainsi son entrée sur le marché nîmois avec deux opérations sur le Domaine des Roches Blanches – Les Cistes et Les Garrics –, soit un investissement de 26,2 millions d’euros.
Cyrill Meynadier, dirigeant fondateur d’OPALIA, a inauguré le hameau des Cistes aux côtés du maire de Nîmes Jean-Paul Fournier mardi 25 juin dernier. Le concepteur et promoteur immobilier a investi plus de 9,9 millions d’euros dans ce programme de 57 villas regroupées en trois hameaux sécurisés sur le Domaine des Roches Blanches, dans la garrigue nîmoise. Les personnalités présentes ont pu découvrir les 17 premières maisons réalisées, des T4 de 78 m2 ouvrant sur un jardin et une terrasse privatifs et dotées de deux places de parking chacune. L’architecte nîmois, Didier Cazalet, s’est inspiré des traditions locales qui leur confèrent tout leur cachet. Commercialisées à partir de 229 000 €, ces villas s’adressent aux primo-accédants ainsi qu’aux investisseurs. Le principal défi pour OPALIA a été de revégétaliser l’espace à partir des chênes verts de la garrigue lors des travaux de terrassement. Une trentaine d’arbres a ainsi été transplantée à l’automne 2018 dans la résidence, dans les parties communes et les jardins privés. Une démarche naturelle pour le promoteur qui intègre systématiquement l’impact sur l’environnement dans la conception de ses opérations.

Cyrill Meynadier inaugure Les Cistes en présence du maire de Nîmes Jean-Paul Fournier • © Marie Frayssinet


Deux projets aux Roches Blanches sur un terrain de 22 900 m2
OPALIA s’est engagé auprès de son partenaire l’aménageur GGL à réaliser deux programmes sur le Domaine des Roches Blanches : Les Cistes et Les Garrics. Le projet Les Garrics sera livré en deux tranches, au printemps et à l’automne 2020. Cette résidence de petits bâtiments comprendra 124 logements avec terrasses du T2 au T4, un parc arboré et une piscine. Au total, OPALIA investit 26,2 millions d’euros à Nîmes pour proposer 181 logements, villas et collectif.

Le hameau des Cistes par Opalia © DR / Marie Frayssinet (intérieur)


À propos d’OPALIA
Cyrill Meynadier a créé OPALIA en 2014 à Montpellier, avec la volonté de se positionner comme « metteur en scène de nouveaux environnements urbains et économiques ». Intervenant pluridisciplinaire capable de concevoir des logements du social au haut-de-gamme, des résidences gérées et du tertiaire, OPALIA se spécialise dans les programmes multifonctionnels qui mettent en jeu la mixité sociale, intergénérationnelle et économique. OPALIA collabore tout autant avec de grands architectes nationaux et internationaux qu’avec de jeunes équipes à l’avant-garde de l’innovation architecturale.
• Réalisations phares : L’Arbre Blanc à Montpellier et la résidence Isatis à Chamonix.
• Parmi les projets en cours : Prado-Concorde (Castelnau-Le-Lez), Première Avenue (Montpellier, Près d’Arènes), Campus de l’école ARTFX (Euromedecine, Montpellier).
• Récompenses : OPALIA a reçu, le 24 juin 2019, la prestigieuse récompense du meilleur programme Immobilier de l’année, Pyramide d’Or, dans la catégorie Mixité Urbaine, pour Prado-Concorde. Organisée par La Fédération des Promoteurs Immobiliers, ce prix a été décerné par un Jury indépendant devant monsieur Le Ministre Denormandie.

• CA 2018 : 25 657 000 € (logements actés en 2018).
• Effectif : 8.

L'Arbre Blanc et Prado Concorde, deux réalisations OPALIA en co-promotion


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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.

L’échographe est le stéthoscope du futur ! Premier Congrès d’Échographie en médecine générale, Paris, 12-14 janvier 2018.


Le Centre Francophone de Formation en Échographie organise à Paris le premier Congrès d’Échographie en médecine générale du 12 au 14 janvier 2018. Une trentaine de médecins généralistes épaulent le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois pour informer et former leurs confrères et consœurs sur ce qu’ils considèrent comme le stéthoscope du futur.
Selon les estimations du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois, seuls 5% des médecins généralistes français auraient intégré l’échographe dans leur pratique quotidienne, contrairement à bon nombre de praticiens spécialistes qui assurent les échographies « bedside ultrasound » (au chevet du patient), notamment en Réanimation, en Cardiologie, en Rhumatologie, en Angiologie… Afin de remédier à la situation, le Centre Francophone de Formation en Échographie organise au Palais des congrès de Paris, les 12, 13 et 14 janvier 2018, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale. Les participants pourront y découvrir le concept de « l’échographe, stéthoscope du 3e millénaire », échanger avec des médecins qui utilisent déjà cet appareil d’imagerie et surtout se former à sa prise en main.
L’échographie en médecine générale  : une cause publique
Tous les travaux réalisés sur le sujet démontrent l’intérêt de pratiquer l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet. Ainsi Marion Pla et Laurent Seyler (1) expliquent que l’échographie permet au médecin de gagner du temps, de réaliser des diagnostics plus précoces, d’apporter une évaluation immédiate aux problèmes cliniques urgents et d’orienter le patient de manière appropriée (sans engorger les services d’urgence notamment).
Le Pr Bourgeois rappelle qu’il y a une vingtaine d’années, le Professeur Moreau, radiologue précurseur, avait proposé à la Sécurité sociale de mettre à la disposition du médecin généraliste un échographe avec l’objectif de dépister les anévrismes de l’aorte abdominale : « On mesure le bénéfice de l’outil en termes de décès évités par rupture d’AAA ! » Elsa Mani (2) note aussi que, dans de nombreux pays comme en Allemagne ou au Japon, la pratique de l’échographie est courante en soins primaires et perçue comme un prolongement de l’examen clinique, au même titre que la bandelette urinaire et la glycémie capillaire.
Enfin, pour le Pr Bourgeois, « l’échographie participe – et pourrait participer bien davantage – à dissiper le malaise ressenti par les médecins généralistes. La reconnaissance insuffisante de notre utilité par la société, par les partenaires (plus rarement par nos patients), et finalement par les médecins généralistes eux-mêmes, ne peut être redressée que par une plus grande efficience de notre discipline, notamment grâce à l’échographie. »
Congrès d’Échographie en médecine générale • 12-14 janvier 2018 • Palais des congrès de Paris
Droits d’accès : 280 euros • Ateliers qualifiants indemnisants proposés • www.congres-echographie.com • Télécharger le programme complet.
À propos du CFFE et du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’Ecole d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
(1) Marion Pla et Laurent Seyler, « Pratique de l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet ; perceptions des praticiens », Médecine humaine et Pathologie, 2016.
(2) Elsa Mani, « Utilisation de l’échographie par les médecins généralistes en France : enquête descriptive », Médecine humaine et pathologie, 2016.
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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

La culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud » le 24 avril

Au-delà des règles d’un établissement scolaire ou de la mauvaise réputation d’un quartier, au-delà des croyances et des traditions, la culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud ».

Rendez-vous sur France 3 Languedoc-Roussillon les 24 et 25 avril 2015 pour découvrir le 6e numéro du magazine culturel « On dirait le Sud ». Au sommaire, sept courts documentaires consacrés à l’art et au patrimoine en région, co-produits par les Films d’Ici Méditerranée. Les réalisateurs ont filmé l’irruption déstabilisante et libératrice d’artistes du théâtre, de la chanson et du cirque dans un lycée alésien. Ils ont poussé la porte de la Casa Musicale à Perpignan où d’autres artistes transmettent leur amour du chant et de la musique à des jeunes du quartier Saint-Jacques. Ils nous invitent ensuite en Pays minervois, à l’écoute de la Mal Coiffée, un groupe de jeunes femmes qui réinvente l’art de la polyphonie occitane. « On dirait le Sud » fait alors une incursion dans l’Hérault pour nous confronter aux toiles, dessins et photographies de quatre peintres et plasticiennes qui exposent au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète, puis pour assister à la préparation du groupe montpelliérain de hip hop Submarin Crew qui participera à sa première « Battle Of The Year France » le 23 mai. Le magazine revient aussi sur la construction, dans les années 60, de l’église Saint-Dominique, surprenante nef de béton dans les quartiers Est de Nîmes. Il s’achève à Narbonne, où le dessinateur Toma Dutter invite des lycéens à se servir de leur cerveau intuitif…
Diffusions : 24 avril à 0h15, 25 avril à 15h20, France 3 Languedoc-Roussillon.
L’énergie communicative des artistes
Hip hop, rumba catalane, salsa gitane, slam… À la Casa Musicale de Perpignan, les artistes professionnels travaillent et transmettent leur énergie positive aux jeunes du quartier. « Tu veux régler un différend ? Tu le fais au micro, aux platines ou dans un cercle en dansant ! » Laure Bourdon Zarader filme ainsi les responsables du lieu, les artistes et les jeunes à l’œuvre d’une patiente construction de soi, avec les autres. On retrouve la même envie de donner chez les trublions qui bousculent les habitudes des élèves du lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès : invitation, incitation à oser se servir de son corps, de sa voix, à s’exprimer à travers le théâtre ou le chant. Souffle de liberté et de création dans le respect mutuel dont témoigne Boris Garavini. On se prend alors à rêver d’un système éducatif qui permettrait enfin cela, la construction d’une solidarité par l’épanouissement individuel.
« On dirait le Sud », seul magazine culturel de France 3 Région
Serge Lalou et Les Films d’Ici Méditerranée coproduisent avec France Télévisions le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Émission mensuelle de 52 mn, « On dirait le Sud » est placée sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou. Elle se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs de la région Languedoc-Roussillon. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est de « filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
 

// Sommaire du numéro 06 – Avril 2015 //

Programmation le 24 avril 2015 à 0h15
Rediffusion le 25 avril 2015 à 15h20
Durée : 52 mn.
Des artistes au lycée de Boris Garavini et les Films Invisibles
Pendant cinq jours, au début du mois de mars et à l’initiative du Théâtre du Cratère, le lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès est littéralement envahi par les artistes de théâtre, chanson, cirque contemporain. Le film de Boris Garavini décrit cette irruption foisonnante dans l’enceinte de l’institution scolaire.
La Casa Musicale à Perpignan de Laure Bourdon Zarader
Installée dans un quartier gitan de Perpignan, ville exposée à des tensions importantes entre différentes communautés, La Casa Musicale contribue à une meilleure mixité sociale par la création de concerts dédiés aux Musiques du Monde et aux Musiques actuelles. Le film raconte la démarche d’un lieu qui associe étroitement culture et lien social. À la Casa Musicale, les artistes travaillent et transmettent aux jeunes dans des ateliers de hip hop, de rumba catalane, de salsa ou encore d’écriture de slam.

La Mal Coiffée de Manuel Deiller
Des jeunes femmes vivant dans le Minervois ont créé en 2003 un groupe de polyphonie, La Mal Coiffée, pour interpréter des chants traditionnels où poésie et langue occitane réinventent un répertoire populaire. Qui sont ces femmes qui réussissent à s’inscrire de façon contemporaine dans un terroir culturel et linguistique en évitant le risque passéiste et régionaliste, en l’universalisant ?

Chair, Magenta, Le bleu du ciel, Figures de Christine Baudillon
Une exploration du travail de quatre artistes exposées depuis février au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète : les peintures et tirages numériques grand format de Nina Childress, les tableaux et le wall painting de Sylvie Fanchon, les photographies et performances d’Enna Chaton, les dessins au crayon, autoportraits numériques et vidéos de Mïrka Lugosi.
Submarin Crew de Manuel Deiller
Groupe émergent de la scène hip hop, le crew Submarin prépare activement, à Montpellier, l’événement phare de l’année : les Battles, un championnat où les équipes rivalisent dans le rythme et l’acrobatie avec la théâtralité qui caractérise la discipline.

La Nef du Salut de Raymond Achilli
Dans un quartier de Nîmes aux constructions géométriques, un édifice bâti en forme d’amande avec des blocs de béton préfabriqués, questionne. Sur sa façade principale, aucun signe ostentatoire religieux connu. Seuls une nef franchit les flots et quelques poissons gravés dans le béton nagent au pied d’un pilier alors qu’à l’extrémité de celui-ci, une croix de Camargue ferre les cieux. En fait, cette alliance entre les gardians et les pêcheurs de la région est le symbole du Salut dans la religion catholique. C’est ainsi que l’architecte Joseph Massota qui souhaitait « bâtir une église en béton avec beaucoup de lumière, de verre », a conçu l’église Saint-Dominique, commandée par l’évêché et inaugurée le 13 décembre 1964.

Carnets de Jean-Baptiste Durand
Rencontre avec le dessinateur Toma Dutter, en résidence au lycée du Docteur Lacroix à Narbonne. Chaque année, la Région et la DRAC portent de nombreuses résidences d’artistes dans les établissements scolaires dans le but de promouvoir l’art contemporain, de le rendre plus accessible par le biais des artistes eux-mêmes. Pour les élèves il s’agit de faire un pas de côté par rapport aux autres enseignements et de travailler durant quelques semaines avec un artiste qui propose de sortir de l’intentionnalité et du cadre scolaire.
contact production : Élodie Dombre, 06 20 67 37 04.
contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14. Journalistes, demandez vos codes d’accès privés pour découvrir le magazine en avant-première presse.
Documents en téléchargement :
• communiqué de presse,
• dossier de presse 2015.
 

Culture • « On dirait le Sud » saison 2015 sur France 3 Languedoc-Roussillon

7 janvier 2015 – 27 février 2015 • À quoi bon la culture, cette autre idée du Sud ?
Parce que c’est la seule façon de résister, répondent les artistes et « On dirait le Sud ».

En 2015, le magazine « On dirait le Sud » propose de nouvelles rencontres singulières avec la culture et le patrimoine régional sur l’antenne de France 3 Languedoc-Roussillon. Le prochain numéro, programmé le 27 février, conduira les téléspectateurs dans les bureaux de trois dessinateurs de presse à Montpellier, Pérols et Nîmes, dans les ateliers de la Manufacture nationale de la Savonnerie à Lodève, sur le chantier de fouilles de l’abbaye de Saint-Gilles, dans les coulisses du Centre Dramatique National de Montpellier et du Théâtre de Narbonne. Après un hommage au photographe Lucien Clergue, le parcours s’achève sur scène à Nîmes à Paloma et sur les Causses cévenols avec Piers Faccini.
Après le drame de Charlie Hebdo
« Ce soir-là nous sommes une dizaine de jours après le traumatisme de début janvier. Comment ne pas y penser ? Comment ne pas l’évoquer » interroge la voix off du documentaire de Yann Sinic sur Rodrigo Garcia, le nouveau directeur du Centre dramatique national de Montpellier : « À quoi cela sert-il de faire du théâtre, du cinéma, dans un tel désenchantement ? » Le numéro 4 de « On dirait le Sud » porte l’empreinte de l’actualité dramatique du début d’année, communique le doute qui assaille les artistes autant que leur pugnacité, la vivacité d’un coup de crayon.
Ainsi Laure Pradal a-t-elle filmé trois dessinateurs de presse en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours. Ils lui font part de leur processus créatif, de leur quête d’idées. Au fil des planches, des références aux attentats perpétrés au sein de la rédaction de Charlie Hebdo… Aurel commente une illustration intitulée « Monsieur Tignous, éleveur de dessinateurs » : « Tu lui montrais tes dessins, il te disait que c’était nul et pourquoi c’était nul. Tignous était quelqu’un qui acceptait de prendre le temps de discuter. » Roland Hours s’étonne : « Quand je travaillais à l’Evénement du Jeudi, on était plus libre que maintenant ! »
Cinq volets jusqu’à l’été
L’aventure se poursuit en 2015 pour le magazine culturel « On dirait le Sud » coproduit par Les Films d’Ici Méditerranée (Montpellier) et France Télévisions. Les trois premiers numéros diffusés à l’automne ont donné le ton et affirmé, selon le producteur Serge Lalou*, « la nécessité d’ouvrir des espaces télévisuels pour la création et le nécessaire cofinancement de la télévision publique régionale par les collectivités territoriales. » Soutenu par la Région et la DRAC notamment, « On dirait le Sud » donne rendez-vous aux téléspectateurs les 27-28 février, 27-28 mars et 24-25 avril, à 0h15 et 15h20. Deux autres numéros seront programmés en mai et juin.
Le seul magazine culturel de France 3 Région
Émission mensuelle de 52 mn diffusée par France 3 Languedoc-Roussillon, « On dirait le Sud » est le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Placé sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou, le magazine se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs choisis en fonction de leur connaissance du sujet et de leur inscription dans la région. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est « de filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
* Serge Lalou et Anne-Marie Luccioni, associés aux Films d’Ici, ont créé en juillet 2014 à Montpellier une nouvelle société de production, Les Films d’Ici Méditerranée (Filmed). « On dirait le Sud » est leur première production, mise à l’antenne en septembre 2014.
Page Facebook de l’émission :
https://www.facebook.com/pages/On-dirait-le-Sud/796139110428797


// Sommaire du numéro 04 – Février 2015 //

Programmation : 27 février 2015 à 0h15.
Rediffusion : 28 février 2015 à 15h20.
Durée : 52 mn.
Contact production : Élodie Dombre, administration de production, 06 20 67 37 04.
Des dessinateurs de presse, de Laure Pradal
Après l’émotion suscitée par l’assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo, Laure Pradal filme les dessinateurs politiques installés en Languedoc-Roussillon : Aurel, Eddie Pons et Roland Hours, qui dessinent pour des journaux politiques ou d’information (Le Monde, Politis) en parallèle de leur travail de dessinateur de BD. Comment travaillent-ils au quotidien ? Qu’est-ce qui fait l’essence de leur métier ?

L’aventure au long cours, de Marie Poitevin
Cet atelier de création de tapis est situé aux abords de la ville de Lodève, dans un bâtiment à l’écart qui abrite un trésor de savoir-faire. Il est une annexe des Gobelins. Des hommes et des femmes, appelés lissiers, travaillent patiemment sur la réalisation d’ouvrages contemporains ou de reproductions de tapis anciens. Ici la rentabilité n’existe pas. Il n’y a pas de contraintes de temps, l’ouvrage prendra plusieurs années, parfois 7 ans. Le 20 janvier 2015 a lieu « la remise d’un métier » aussi appelée la « délivrance d’un tapis » dont on coupera les chaînes après de nombreuses années d’ouvrage. La réalisatrice propose trois portraits qui témoignent de la profondeur historique de cette manufacture (née après la guerre d’Algérie pour donner du travail aux femmes harkis) et de la qualité rare du travail de ces lissiers dont les tapis orneront les ambassades, ministères et monuments historiques.

Le Cirque Poussière à Narbonne, de Jean-Marie Téno
Julien Candy est un jeune circassien formé à Montpellier, à Paris, puis à Padoue. Le film de Jean-Marie Téno suit l’installation, la mise en place et la première sur la scène du Théâtre de Narbonne de la Cie La faux populaire, une jeune compagnie de cirque contemporain, mélange de cabaret, de voltige, de chant lyrique, dans sa dernière création intitulée Le Cirque Poussière. Avec précaution, il se glissera dans ce remue-ménage de construction millimétrée du manège et de décors parfois, qui offrent le cadre à la parodie de certains classiques et à des numéros originaux de voltige, de music-hall, de manipulation et de détournement d’objets qui font partager avec les spectateurs autour du manège les émotions fortes que les artistes communiquent avec brio.
Fouilles au cloître Saint-Gilles, de Jean-Baptiste Durand
Depuis un mois, les archéologues de Mosaïques Archéologie fouillent dans le jardin du cloître de l’abbaye de Saint-Gilles, haut lieu de pèlerinage sur le chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Début janvier, les restes de trois tombeaux monumentaux bâtis en pierre ont été découverts et sont actuellement en cours de fouille. Ils permettent de mettre en lumière la richesse historique du lieu qui ne devrait pas devenir l’otage malheureux d’une politique municipale orientée vers d’autres impératifs.

Rodrigo Garcia, de Yann Sinic
Nouveau directeur du Centre Dramatique National de Montpellier, Rodrigo Garcia apparaît comme le fer de lance du renouvellement de la proposition théâtrale de la ville. Avec un discours résolument politique sur l’action artistique, qui s’incarne dans le choix de nommer sa compagnie « Humain trop humain », le metteur en scène argentin bouscule le public en proposant un programme à l’image de la première œuvre présentée Golgotha picnic. L’angle du film sera la capacité de mener une telle politique théâtrale en créant de l’adhésion populaire.
D’abord la vie, ensuite les triomphes, de Lucien Clergue
La disparition du photographe Lucien Clergue en novembre a suscité bien des éloges et des rappels utiles dans la presse. Arlésien de naissance, c’est à lui que nous devons la création des Rencontres photographiques d’Arles. Ami de Picasso, de Cocteau, il laisse derrière lui une magnifique œuvre photographique, mais aussi des courts-métrages. Ce pan de son travail, beaucoup moins connu, va faire l’objet de projections au festival de cinéma Itinérances d’Alès 2015. Le magazine se propose de diffuser un extrait d’un des courts-métrages de Lucien Clergue, afin de le faire connaître à un public encore plus large.
Immersion à Paloma, de Laure Bourdon
À la SMAC Paloma à Nîmes, dans l’un des plus beaux lieux de musique actuelle de l’hexagone, de jeunes créateurs expérimentent de nouvelles formes de création, au croisement du cinéma, de la musique électronique et des effets spéciaux. À l’occasion de la préparation de Déjà vu, un spectacle visuel et sonore où se mêlent improvisation et immersion des spectateurs dans une narration en 3D, Laure Bourdon explore cette nouvelle tendance de la création, de mêler spectacle vivant, nouvelles technologies et performance immersive…
A New Morning, de Jeremiah et Piers Faccini
Vivant depuis plusieurs années dans les Cévennes, l’artiste cosmopolite Piers Faccini s’inspire d’une mystique des lieux pour enrichir son répertoire acoustique. Le réalisateur Jérémiah a saisi dans des plans-séquences les résonances et harmoniques qui surgissent entre des lieux aussi divers que des églises romanes et des espaces de Causses, et les chants très épurés de Piers Faccini. Une rencontre des extrêmes entre le minéral et l’onde.

 
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• ce communiqué en PDF
• le dossier de presse de février 2015
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Djemila Benhabib en France, mai 2014

Djemila Benhabib présentera l’édition française 2014 de son essai Ma vie à contre-Coran du 20 mai au 1er juin 2014. Au programme, rencontres et signatures :
PARIS
• le 21 mai 
à 19h à la librairie Violette and Co.
102 rue de Charonne, Paris 11e – 01 43 72 16 07.
www.violetteandco.com
NÎMES
• le 23 mai
 à 14h, conférence à destination des étudiants L2 et L3 de l’Université de Nîmes, site Vauban. Djemila interviendra sur la condition féminine dans les pays qui ont vécu le « printemps arabe ». Ouverte au public, dans la limite des places disponibles.
MONTPELLIER
• les 24 et 25 mai, La Comédie du Livre.

> Signature sur le stand de la librairie Sauramps.
> Conférence « Féminisme et laïcité : les nouveaux défis » le 25 mai de 10h30 à 11h30, stand Éditeurs en région, Espace animation (Languedoc-Roussillon Livre et Lecture). Pour Djemila Benhabib, le féminisme est un humanisme. L’auteure de Ma vie à contre-Coran a grandi dans une société d’hommes où la violence à l’égard des femmes était courante. La nécessité de se battre individuellement et collectivement s’est imposée dans sa vie d’une façon naturelle et ne l’a plus quittée. Fille de l’Orient et de l’Occident, Djemila Benhabib défend une vision féministe et laïque de la société, pour la liberté sexuelle et contre tous les obscurantismes.
NICE
• le 27 mai
 à 18h30, conférence-débat « Vivre-ensemble : citoyenneté, islam et diversité » à l’initiative du Cercle de réflexion philosophique Clio.
Grand amphithéâtre de l’Espace-Associations.
2 Ter Place Garibaldi, Nice.
STRASBOURG
• le 31 mai
à 15h à la librairie Kléber.
1 rue des Francs Bourgeois, Strasbourg – 03 88 15 78 88.
librairie-kleber.com
 

"L'entreprise au féminin" s'invite au Business Happy Hour de la JCE de Nîmes

La Jeune Chambre Économique de Nîmes et sa Région organise un « Business Happy Hour » sur le thème de « L’entreprise au féminin » le mercredi 24 avril de 19h à 21h au Zinc à Nîmes.
L’association convie les actifs, salariés ou entrepreneurs, étudiants, demandeurs d’emploi ou futurs créateurs d’entreprise à participer à cet « afterwork nîmois » pour créer ou développer leur réseau. Ils pourront échanger à cette occasion avec Lydia Bouziane, présidente du Centre de Ressources dans l’Entrepreneuriat au Féminin (CREF) et avec les Femmes Chefs d’Entreprises du Gard (FCE).
Quelques bonnes raisons pour participer au Business Happy Hour de la JCE
• Développer des contacts
• Rencontrer de futurs employeurs ou collaborateurs
• Donner de la visibilité à son projet professionnel ou à son entreprise
• Partager ses idées avec des professionnels
• Passer un moment convivial…
Business Happy Hour
24 avril 2013
19h00 à 21h00
Bar tapas restaurant Le Zinc
13 rue de l’Agau – Nîmes
Contact JCE :
06 20 31 03 07 ou par mail.