Le réseau régional d’entreprises adaptées Cap Occitanie fête ses 20 ans aux côtés de Philippe Croizon

Le réseau d’entreprises adaptées Cap Occitanie célèbre ses 20 ans le 10 octobre prochain à La Grande Motte, à l’occasion de sa soirée de gala annuelle. L’athlète et aventurier Philippe Croizon en sera l’invité de marque. Thierry Vayssettes, président de Cap Occitanie, dresse un bilan encourageant – le réseau compte 28 EA et 1040 salariés. Il souhaite accélérer le déploiement de la filiale commerciale Covaldi-Groupe.

Thierry Vayssettes, président de Cap Occitanie, fêtera les 20 ans du réseau régional d’entreprises adaptées aux côtés de ses partenaires privés et institutionnels le 10 octobre, au Pasino de la Grande-Motte. Dès 18h, des dirigeants et salariés d’entreprises membres du réseau présenteront leurs activités aux invités sur un espace stand.

Thierry Vayssettes ouvrira la soirée de gala à 19h ; il dressera un bilan synthétique de 20 ans d’activités et livrera les projets structurants de Cap Occitanie. Une table ronde abordera ensuite les politiques en faveur de l’inclusion des travailleurs en situation de handicap. Elle permettra d’entendre notamment Julien Tognola, directeur régional de la DREETS Occitanie et Jalil Benabdillah, vice-président de la Région Occitanie.

Philippe Croizon donnera une conférence au cours du repas de gala, à 21h, autour de valeurs partagées par les membres de Cap Occitanie, en particulier la capacité qu’a chacun de vivre et de travailler avec son handicap, ou encore la force du collectif.

Cap Occitanie oriente les travailleurs reconnus handicapés vers les EA

Depuis sa création en 2003, l’association Cap Occitanie a accompagné 26 entreprises adaptées pour l’élaboration du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) inhérent à l’obtention de l’agrément « entreprise adaptée » délivré par la DREETS. En 2018, elle a élargi son spectre d’action en lançant #CapJeunes, dispositif qui a permis d’orienter 17 jeunes en situation de handicap vers une EA, et en signant une convention avec le Centre de Formation d’Apprentis Spécialisé (CFAS) Occitanie Ouest.

En 2023, Cap Occitanie s’est associée au Centre Epide d’Alès La Grand’Combe qui aide les 17-25 ans, avec ou sans diplômes, à trouver un métier. « Au-delà des actions de sensibilisation que nous y menons, ce type de structures représente aussi un vivier de salariés pour nos entreprises adhérentes » précise Thierry Vayssettes. Le réseau a enfin signé une convention avec le Centre de formation ABC qui propose une formation Inclupro via l’AGEFIPH à destination d’adultes en reconversion professionnelle et reconnus travailleurs handicapés.

Cap Occitanie, un réseau de 28 entreprises adaptées fédérant 1040 salariés (dont 840 en situation de handicap).

La dynamique commerciale passe par Covaldi-Groupe

Cap Occitanie propose à ses membres des « clubs entreprises », espaces de rencontres et d’opportunités commerciales entre EA et acheteurs. En 2023, 12 directeurs d’entreprises adaptées ont ainsi rencontré, dans les locaux d’une des EA du réseau, des acheteurs de la commande publique de la Région Occitanie. C’est cette volonté de construire une stratégie commerciale commune aux membres de Cap Occitanie qui a présidé à la création de la filiale Covaldi-Groupe en 2022.

Covaldi-Groupe compte déjà une dizaine d’entreprises adhérentes. Dans le cadre d’appels d’offres, la filiale de Cap Occitanie met en relation les entreprises adaptées locales complémentaires. Elle est d’ailleurs en train de répondre à plusieurs appels d’offre groupés.

« Le bénéfice que saura générer cette structure sera en priorité reversé au profit de la formation et de la montée en compétences des travailleurs en situation de handicap des structures adhérentes » explique Thierry Vayssettes. « Nous souhaitons aussi soutenir des projets de diversification d’activités ou de certifications dans une logique de co-financement avec les entreprises adaptées concernées. »


À propos de Cap Occitanie et des EA

L’entreprise adaptée est une entreprise du milieu ordinaire du travail qui emploie au moins 80 % de salariés reconnus handicapés. Elle leur apporte une solution d’emploi de proximité et des opportunités pour se former et évoluer professionnellement dans l’entreprise elle-même ou vers d’autres employeurs. Elle propose aussi des dispositifs passerelles vers l’environnement de travail ordinaire. On compte plus de 800 EA en France. Elles représentent 57 000 salariés dont 40 500 en situation de handicap. 50% ont un statut commercial.

Créée en 2003 à Montpellier, l’association CAPLR est devenue Cap Occitanie en 2016. Elle a pour objectif de promouvoir l’insertion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap auprès des entreprises et des collectivités territoriales soumises à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. Le réseau compte 28 entreprises adaptées fédérant 1040 salariés (dont 840 en situation de handicap) et représentant un CA cumulé de plus de 36 millions d’euros.

Cap Occitanie accompagne les entreprises adaptées, fait valoir leurs intérêts auprès des pouvoirs publics et fédère les structures afin de les faire travailler ensemble sans mauvaise concurrence tout en favorisant le partage et l’échange de bonnes pratiques. Cap Occitanie est soutenue par la Région Occitanie et la DREETS Occitanie.


Contact Presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.

Cap Occitanie distingue la SSII Sopra Steria lors de sa Soirée «  Entrepreneurs et Solidaires  »

Lors de sa Soirée « Entrepreneurs et Solidaires » à Plaisance-du-Touch le 24 novembre dernier, le réseau régional d’entreprises adaptées Cap Occitanie a mis en avant le groupe Sopra Steria. La distinction remise à la SSII salue la fidélité et la bienveillance de ses équipes, partenaires historiques de l’entreprise adaptée Vidéal 31.

Kadda Amouri, coordinateur région Sopra Steria Groupe, a reçu des mains de David Corbière, directeur de Vidéal 31 et de Michel Salvaing, directeur institutionnel de la Caisse d’Epargne Languedoc-Roussillon, le trophée Cap Occitanie destiné à récompenser une entreprise ordinaire cliente du réseau régional d’entreprises adaptées. « Le groupe Sopra Steria est à l’origine de l’implantation de Vidéal en Haute-Garonne il y a dix ans de cela » a rappelé David Corbière. « La SSII est plus qu’une cliente, c’est un partenaire bienveillant qui nous permet de travailler l’emploi et la montée en compétences de nos collaborateurs en situation de handicap  avec plus de 30 emplois pérennes à ce jour. » Sopra Steria est l’un des leaders européens de la tech reconnu pour ses activités de conseil, de services numériques et d’édition de logiciels. Depuis 2012, le groupe Vidéal assure l’entretien et le nettoyage de ses sites toulousains et rennais ainsi que la maintenance multiservices de son site de Sophia Antipolis.

Michel Salvaing, directeur institutionnel CELR – Kadda Amouri, coordinateur région Sopra Steria Groupe – David Corbière, directeur de Vidéal 31. © Cap Occitanie
Cap Occitanie se rapproche de l’écosystème entrepreneurial toulousain

Lors de sa Soirée de gala, Cap Occitanie a notamment accueilli Hélène Lestarquit, sous-préfète chargée de mission auprès d’Étienne Guyot, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne et Stéphanie Sense, conseillère régionale Occitanie et première adjointe au maire de Blagnac. « Nous avons profité de cet événement pour promouvoir auprès des élus et des entrepreneurs locaux le rôle des entreprises adaptées dans l’insertion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap » explique Thierry Vayssettes, président du réseau. L’association créée à Montpellier entend en effet se développer à l’Ouest de l’Occitanie. Grâce à sa nouvelle filiale commerciale, Covaldi-Groupe, elle peut répondre de façon cohérente aux demandes de devis et proposer les prestataires adéquats parmi ses adhérents. Elle met enfin en relation des entreprises du milieu ordinaire ou des grands comptes avec des entreprises adaptées locales lors de demandes de co-traitance.


Contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14.

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« Les entreprises adaptées comptent dans l’économie régionale » rappelle Cap Occitanie à l’écosystème entrepreneurial toulousain

Avec plus de 33 M de chiffre d’affaires cumulé et 700 salariés, le réseau d’entreprises adaptées Cap Occitanie est un acteur territorial de poids. Il fera entendre sa voix aux entreprises et aux institutions du Toulousain le 24 novembre 2022 à l’occasion de la 14e édition de ses Rencontres « Entrepreneurs et Solidaires ». Cette soirée se déroulera pour la première fois dans l’Ouest de l’Occitanie où l’association est encore peu représentée.

Thierry Vayssettes, président du réseau régional d’entreprises adaptées Cap Occitanie, convie les entrepreneurs, les représentants des collectivités territoriales, les élus locaux et les associations à la soirée annuelle du réseau qui aura lieu le 24 novembre 2022 à Plaisance-du-Touch, au Mas Tolosa. Cap Occitanie présentera ses actions à l’écosystème entrepreneurial toulousain et ouvrira le débat sur les performances des entreprises adaptées et sur leurs pespectives de développement. Cap Occitanie distinguera également à cette occasion une sélection d’entreprises adhérentes.

Travailler dans un esprit de partage pour être plus fort ensemble

« CAP Occitanie a pour objectif de promouvoir l’insertion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap auprès des entreprises et des collectivités territoriales soumises à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH) » rappelle Thierry Vayssettes. « Nous avons particulièrement à cœur de fédérer les structures entre elles afin de les faire travailler ensemble. »

Cap Occitanie rassemble ainsi une vingtaine d’entreprises adaptées qui emploient 700 salariés dont 600 en situation de handicap et représentent un chiffre d’affaires cumulé de plus de 33 millions d’euros. Le réseau vient de créer une filiale commerciale, Covaldi-Groupe, pour répondre de façon cohérente aux demandes de devis, proposer le ou les prestataires adéquats parmi ses adhérents, mettre en relation des entreprises du milieu ordinaire ou des grands comptes avec des entreprises adaptées locales lors de demandes de co-traitance…

Renforcer le maillage des adhérents et des clients à l’Ouest de l’Occitanie

L’association Cap Occitanie s’est développée majoritairement dans l’ancienne région Languedoc-Roussillon où elle fut créée en 2003. Ses dirigeants souhaitent donc recruter de nouveaux adhérents et créer des synergies de groupe dans toute la région Occitanie. À ce jour le réseau compte trois entreprises adaptées de l’Ouest Occitanie parmi ses 19 adhérentes : Vidéal 31 à Toulouse, Wallabi SAS et EA REbond à Albi. L’Union Nationale des Entreprises Adaptées recense de son côté 97 EA dans la région. 

Cap Occitanie entend aussi mieux se faire connaître des entreprises ordinaires de l’Ouest Occitanie. « Nous sommes pour elles des fournisseurs de produits ou de prestations de service en direct, en sous-traitance ou en co-traitance » ajoute T. Vayssettes. « Nous leur proposons aussi des solutions RH pour recruter, accompagner et former leurs collaborateurs en situation de handicap. Enfin nos clients peuvent déduire du montant de leur contribution à l’OETH 30 % des coûts de main-d’œuvre issus de nos factures. »

Inscriptions soirée du 24/11 sur http://www.soiree-capoccitanie.fr/


L’entreprise adaptée, pour une société du travail plus inclusive

L’entreprise adaptée, créée en 2005, emploie au moins 80 % de salariés reconnus handicapés. Elle se distingue des autres entreprises en permettant à des personnes en situation de handicap d’accéder à l’emploi dans des conditions de travail adaptées à leurs capacités. Liée avec l’État par un contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM), elle peut bénéficier d’aides spécifiques. Les personnes handicapées qu’elle emploie sont des salariés comme les autres (Code du Travail). L’EA leur apporte une solution d’emploi de proximité et des opportunités pour se former et évoluer professionnellement dans l’entreprise elle-même ou vers d’autres employeurs. Elle propose aussi des dispositifs passerelles vers l’environnement de travail ordinaire si tel est le souhait de ses salariés. On compte près de 800 EA en France. Elles représentent 35 000 collaborateurs pour un CA de 1,5 Md d’euros. 50% ont un statut commercial.


À propos de Cap Occitanie

Créée en 2003 à Montpellier, l’association CAP Occitanie, réseau régional des entreprises adaptées, a pour objectif de promouvoir l’insertion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap auprès des entreprises et des collectivités territoriales soumises à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. Cap Occitanie est un acteur territorial essentiel comptant une vingtaine d’entreprises adaptées, fédérant 700 salariés dont 600 en situation de handicap et représentant un chiffre d’affaires cumulé de plus de 33 millions d’euros.

Cap Occitanie accompagne les entreprises adaptées, fait valoir leurs intérêts auprès des pouvoirs publics et fédère les structures entre elles afin de les faire travailler ensemble sans mauvaise concurrence tout en favorisant le partage et l’échange de bonnes pratiques. Cap Occitanie est soutenue par la Région Occitanie et la DREETS Occitanie auxquelles elle est liée par une feuille de route. Chaque année l’association définit de grands axes pour guider ses projets, notamment sur le maintien en emploi des personnes en situation de handicap, l’insertion des jeunes en situation de handicap dans l’emploi, la montée en compétence des salariés handicapés via la formation. 

Cap Occitanie organise une soirée de gala annuelle au mois de novembre dans le cadre du mois de l’ESS et lors de la semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées.


Contact presse : Karine Baudoin, 06 30 08 42 14 

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La JCE de Montpellier réfléchit aux compétences de demain sur le marché du travail

La JCE de Montpellier organise une conférence-débat-réflexion consacrée aux compétences requises sur le marché du travail à l’horizon 2030. Le rendez-vous est fixé le vendredi 23 septembre à 18h00, à la Cité de l’Économie et des Métiers de demain. Ce débat s’inscrit dans la FrancoFormation, manifestation JCI qui rassemblera 200 participants francophones du 23 au 25 septembre à Montpellier.

Le monde du travail est en perpétuel mouvement : les compétences techniques ne cessent de se réinventer et de nouveaux métiers naissent tandis que d’autres disparaissent ou se transforment. Parallèlement, certaines compétences interpersonnelles deviennent des clefs indispensables pour évoluer professionnellement. Dirigeants d’entreprises, représentants de collectivités territoriales et d’organismes consulaires, formateurs et consultants RH seront réunis à la Cité de l’Économie et des Métiers de demain le 23 septembre, à l’invitation de la JCE de Montpellier, pour croiser leurs constats et leurs points de vue sur les problématiques de recrutement, de formation professionnelle et de transformation de la ressource humaine, ainsi que pour donner des pistes de travail aux membres de la JCE.

Cette réflexion sera nourrie par le rapport « Future of work » du Forum Économique Mondial qui a identifié une douzaine de compétences clefs : autonomie, capacité d’adaptation, résolution de problèmes complexes, esprit critique, créativité, management, esprit d’équipe, intelligence émotionnelle, prise de décision, connaissance de soi, agilité, prise de parole en public, engagement sociétal. La JCE de son côté alimentera les débats avec les résultats d’une enquête menée auprès des membres des JCE participant à la manifestation FrancoFormation qu’elle organise en parallèle, soit 200 représentants de la France, de la Belgique, de la Suisse, du Luxembourg, du Mali et de la Tunisie.

Répondre à une jeunesse en quête de sens

« Il nous semblait essentiel de réfléchir ensemble à cette problématique des compétences et de l’environnement de travail » explique Andreea Acxinte, directrice du projet FrancoFormation. « D’une part nous avons affaire à la grande démission des jeunes qui ne veulent plus travailler pour un job qui n’a pas de sens pour eux. D’autre part nous sommes en pleine année européenne de la jeunesse qui a pour objectif de rétablir des perspectives positives pour les jeunes qui ont tant souffert pendant la crise sanitaire. »

De son côté, Anthony Gontier, président de la JCE de Montpellier rappelle que les membres du mouvement JCI ne veulent pas subir les conséquences du changement, mais bien « devenir le changement » : « Le sujet des compétences de demain s’impose à nous. Nous sommes dans un contexte proche de la reconstruction post seconde guerre mondiale. Parce que leur environnement a été modifié des tréfonds des océans à la stratosphère, les humains sont dans l’obligation de changer pour rester l’espèce la plus adaptée à son environnement. Nous devons être des acteurs visionnaires sur une période de transition entre un système à l’agonie et une nouvelle société naissante. »

Elles et ils participent à la réflexion :

  • Jalil Benabdillah – Vice-président en charge de l’économie, l’emploi, l’innovation et la réindustrialisation, Région Occitanie
  • Véronique Villette – Vice-présidente de la CCI déléguée aux ressources humaines, spécialiste en recrutement
  • Ghyslain Morvan – Président Traiteur Grand et M Academy
  • Carlos Mesias – Directeur régional Est et Grand Sud Bouygues Énergies & Services
  • Jean-Pierre Boffy – CEO STEAM France et vice-président Leader Occitanie
  • Renaud Maurin – Fondateur Énergies & Mutations, coach d’organisations et de dirigeants, formateur de managers
  • Jean-Yves Deleuze – Fondateur Géométrie Variable, formateur, coach et consultant en stratégie et management de transition
  • Sanjeev Rao – Conférencier, créateur Mi-SHIFT, catalyseur des jeunes dans les écoles et les entreprises
  • Six responsables de délégations de la Jeune Chambre Internationale, plus de 20 formateurs et 200 membres JCI issus des pays participant à la FrancoFormation.

À propos de la JCE
La Jeune Chambre Économique Française est une association reconnue d’utilité publique, qui réunit des jeunes citoyens actifs ayant la volonté d’impacter positivement leur territoire et qui se forment à la prise de responsabilité au travers d’actions à caractère innovant. Agissant sur des principes de partage, de bienveillance et d’intelligence collective, la Jeune Chambre Economique offre des opportunités de développement pour la jeunesse. Ancrée fortement en local, la JCEF est membre de JCI et s’inscrit aussi dans une dynamique internationale, notamment par le respect et la promotion des Objectifs de développement durable énoncés par l’ONU. La JCE de Montpellier est active depuis 1960.


Contacts presse :
Agence RP, Karine Baudoin, 06 30 08 42 14
Directrice de projet JCE, Andreea Acxinte, 07 70 48 79 72.

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L’échographe est le stéthoscope du futur ! Premier Congrès d’Échographie en médecine générale, Paris, 12-14 janvier 2018.


Le Centre Francophone de Formation en Échographie organise à Paris le premier Congrès d’Échographie en médecine générale du 12 au 14 janvier 2018. Une trentaine de médecins généralistes épaulent le Professeur honoraire et Docteur Jean-Marie Bourgeois pour informer et former leurs confrères et consœurs sur ce qu’ils considèrent comme le stéthoscope du futur.
Selon les estimations du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois, seuls 5% des médecins généralistes français auraient intégré l’échographe dans leur pratique quotidienne, contrairement à bon nombre de praticiens spécialistes qui assurent les échographies « bedside ultrasound » (au chevet du patient), notamment en Réanimation, en Cardiologie, en Rhumatologie, en Angiologie… Afin de remédier à la situation, le Centre Francophone de Formation en Échographie organise au Palais des congrès de Paris, les 12, 13 et 14 janvier 2018, le premier Congrès d’Échographie en médecine générale. Les participants pourront y découvrir le concept de « l’échographe, stéthoscope du 3e millénaire », échanger avec des médecins qui utilisent déjà cet appareil d’imagerie et surtout se former à sa prise en main.
L’échographie en médecine générale  : une cause publique
Tous les travaux réalisés sur le sujet démontrent l’intérêt de pratiquer l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet. Ainsi Marion Pla et Laurent Seyler (1) expliquent que l’échographie permet au médecin de gagner du temps, de réaliser des diagnostics plus précoces, d’apporter une évaluation immédiate aux problèmes cliniques urgents et d’orienter le patient de manière appropriée (sans engorger les services d’urgence notamment).
Le Pr Bourgeois rappelle qu’il y a une vingtaine d’années, le Professeur Moreau, radiologue précurseur, avait proposé à la Sécurité sociale de mettre à la disposition du médecin généraliste un échographe avec l’objectif de dépister les anévrismes de l’aorte abdominale : « On mesure le bénéfice de l’outil en termes de décès évités par rupture d’AAA ! » Elsa Mani (2) note aussi que, dans de nombreux pays comme en Allemagne ou au Japon, la pratique de l’échographie est courante en soins primaires et perçue comme un prolongement de l’examen clinique, au même titre que la bandelette urinaire et la glycémie capillaire.
Enfin, pour le Pr Bourgeois, « l’échographie participe – et pourrait participer bien davantage – à dissiper le malaise ressenti par les médecins généralistes. La reconnaissance insuffisante de notre utilité par la société, par les partenaires (plus rarement par nos patients), et finalement par les médecins généralistes eux-mêmes, ne peut être redressée que par une plus grande efficience de notre discipline, notamment grâce à l’échographie. »
Congrès d’Échographie en médecine générale • 12-14 janvier 2018 • Palais des congrès de Paris
Droits d’accès : 280 euros • Ateliers qualifiants indemnisants proposés • www.congres-echographie.com • Télécharger le programme complet.
À propos du CFFE et du Professeur honoraire Jean-Marie Bourgeois
Le Centre Francophone de Formation en Échographie est un organisme dispensateur de formation en Échographie-Doppler depuis plus de 20 ans. Basé à Nîmes, il a formé plus de 6500 médecins. Son président, le Pr Jean-Marie Bourgeois, a consacré sa carrière universitaire, en tant qu’enseignant et praticien, à la formation du médecin généraliste à l’Écho-Doppler. Il a créé le premier Diplôme Universitaire d’Échographie ouvert également à ces médecins en 1980 à la Faculté de Montpellier, puis le premier DIU en collaboration avec la Médecine Nucléaire de Limoges et de Paris (Pitié Salpêtrière) et la Radiologie de Lyon. Également président de l’Ecole d’Échographie Sans Frontières (EESF), il est l’auteur d’ouvrages formant à l’Échographie (Les mécanismes de formation de l’image en Échographie et Manuel d’Échographie en pneumologie, chez Sauramps Médical).
(1) Marion Pla et Laurent Seyler, « Pratique de l’échographie dans l’exercice de la médecine générale en cabinet ; perceptions des praticiens », Médecine humaine et Pathologie, 2016.
(2) Elsa Mani, « Utilisation de l’échographie par les médecins généralistes en France : enquête descriptive », Médecine humaine et pathologie, 2016.
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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

L’ISCOM Montpellier forme des Responsables de communication BAC+4

76 étudiants de 4e année viennent de faire leur rentrée à l’ISCOM Montpellier. L’école supérieure de communication et publicité du Grand Sud, qui proposait déjà une 4e année option internationale, étoffe ses programmes et prépare désormais au titre de Responsable de communication, titre certifié par l’État, niveau II (équivalent BAC+4).
Vision stratégique et maîtrise opérationnelle de la fonction communication
L’ISCOM Montpellier forme ses étudiants de 4e année aux dimensions managériale et stratégique du poste de Responsable communication. Les enseignements de tronc commun traitent des problématiques actuelles des entreprises : communication de crise, communication corporate, RSE et communication responsable, management de la communication numérique, communication internationale. Les secteurs spécifiques du métier font l’objet d’enseignements électifs : communications culturelle, publique, politique, interculturelle, etc. Les étudiants participent aussi à des compétitions régulières basées sur des cas réels d’entreprises, en fonction de la spécialisation métier qu’ils ont choisie en 3e année : Communication globale des entreprises et des marques (COMAL), Marketing Publicité (MARKET PUB), Relations publiques, presse et événementiel (REP). Enfin, ils concrétisent leur projet professionnel dans un stage de fin d’études de 6 mois, et par le choix de leur sujet de mémoire.

Ces "3e année", finalistes compétition marketing 2013, peuvent enfin suivre leur 4e année à Montpellier


Plus de 10 ans d’expérience en communication internationale
L’ISCOM Montpellier a été la première école du Groupe ISCOM à proposer une option internationale aux étudiants de 4e année, en partenariat avec l’Université américaine de Winthrop, Rock Hill, Caroline du Sud. Depuis 2003, les Iscomiens peuvent ainsi préparer un Bachelor of Science in Integrated Marketing Communication (IMCO) en quatre semestres : un à l’ISCOM Montpellier, trois à Winthrop University. Ce diplôme américain, équivalent du Master 1 européen, favorise l’accès à des carrières en communication commerciale et corporate à l’international. Il permet aussi de préparer un MBA aux États-Unis.

Les diplômés de la Winthrop University - promotion 2012-2013


L’ISCOM MONTPELLIER
L’école supérieure de communication et publicité du Grand Sud accueille 300 étudiants en 2013, encadrés par une soixantaine d’intervenants professionnels et de formateurs. Elle dispose d’un réseau de 1500 anciens étudiants. Chaque année, plus de 250 entreprises, médias et agences accueillent ses étudiants en stage, leur confient des missions de micro-agence et des actions professionnelles.
Contact presseClaudine PUYAU, Directrice des études – 06 72 81 25 36.
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