Le régime de Véro, la box des plats « frais-maison » pour rééquilibrer son alimentation.

Depuis ses cuisines du Sud de la France, Véro rompt la monotonie des box régime avec bon sens et bonne humeur. Pour se sentir bien dans son corps, il faut bien manger. Le régime de Véro livre partout en France des plats « frais-maison » fabriqués à partir de produits de saison, majoritairement issus des circuits courts.
Il fallait la spontanéité et le goût de vivre d’une passionnée de cuisine pour oser lancer un nouveau service de régime à domicile. À 60 ans passés, Véronique a retrouvé son poids de forme grâce aux petits plats légers et nourrissants qu’elle a elle-même imaginés et concoctés  : pourquoi ne pas en faire profiter le plus grand nombre en créant une affaire familiale autour de sa passion ? Depuis un an, Le régime de Véro livre à ses client.e.s, deux fois par semaine, une box de menus hypocaloriques. Ses bons petits plats de chef sont cuisinés à Alès de façon artisanale, sans sucre ajouté, sans aucun conservateur ni autre additif. Ils sont composés de produits frais, de saison, le plus souvent français et bios selon les disponibilités. Un échange avec chaque client.e avant la première livraison permet de mieux comprendre ses attentes et de lui expliquer le fonctionnement des box.
Deux programmes minceur, à son rythme.
Véro élabore des menus rassasiants entre 1000 et 1100 calories, qui laissent de la place pour quelques extras et ne créent donc pas de frustration. Une condition essentielle pour mincir d’un kilo par semaine en moyenne, en reprenant de bonnes habitudes alimentaires (respect des proportions, alimentation saine). Le régime de Véro propose deux formules principales. Le Programme midi et soir à 79 euros par semaine inclut les déjeuners et les dîners pour six jours, associés à des conseils pour s’alimenter le matin et préparer ses collations. Le Programme complet à 119 euros permet de recevoir les trois principaux repas quotidiens accompagnés d’en-cas, six jours par semaine ; il se décline en version Duo (199 euros). Des variantes existent sans gluten et sans lactose, sans viande, sans poisson, sans porc.

La force du Régime de Véro : l’esprit d’équipe et le sens du service.
Née d’une aventure familiale, l’entreprise s’est enrichie de talents locaux désireux de transmettre leur passion du travail artisanal et du bien vivre, dans le respect des consommateurs et de la planète. Basées à Montpellier et à Alès, les équipes du Régime de Véro aiment le contact direct avec leurs partenaires producteurs et leurs client.e.s : on tchate 7 jours sur 7 sur le site et on échange au téléphone ou par mail pour trouver la bonne formule d’abonnement (sans engagement), pour partager ses astuces, s’écouter. Une convivialité qui s’exprime aussi sur les pages Facebook et Instagram du Régime de Véro. Un blog permettra, dès cet été, de prolonger l’expérience avec des conseils régime, des recettes légères et un œil sur les coulisses de l’entreprise.
https://leregimedevero.com/
Tél. : 06 49 52 37 09.
Abonnement sans engagement à partir de 79 euros TTC par semaine.
Box livrée le mercredi et le vendredi avant 13h par Chronofresh.
À propos du Régime de Véro
SAS créée à Alès en mars 2017 par Véronique, Arthur et Philippe Capon, le Régime de Véro a depuis établi son siège social à Montpellier. Elle compte six salariés. Elle a déjà livré 500 client.e.s dans toute la France, dont ¼ en Occitanie, et livre aujourd’hui 300 colis par semaine. Elle emménage ses cuisines fin mai 2018 dans de nouveaux locaux de 310 m2 à Alès (capacité de production : 600 client.e.s par semaine). Incubée à Cap Omega, Le régime de Véro envisage de transférer son site de production à Montpellier début 2019.
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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14 • 04 67 40 36 77.
 

Le régime de Véro double la surface de ses locaux à Alès

Le 21 mai 2018, Le régime de Véro sera installée dans de nouveaux locaux de 310 m2 à Alès. L’entreprise, qui élabore et livre en box des plats minceur frais et artisanaux, double ainsi sa surface pour augmenter sa capacité de production. Parallèlement, elle annonce le transfert de son siège social à Montpellier.
Depuis sa création à Alès en mars 2017, Le régime de Véro a su conquérir une clientèle majoritairement féminine désireuse de rééquilibrer son alimentation grâce à des repas diététiques préparés de façon artisanale à base de produits frais. L’entreprise et ses six salariés livrent ainsi 300 box régime par semaine dans la France entière, dont un quart en Occitanie. Elle délaisse des locaux devenus trop exigus pour s’installer dès le 21 mai prochain chemin de Trespeaux à Alès, dans un bâtiment de 310 m2 comprenant 125 m² de cuisines et 185 m² d’espaces pour l’emballage et le stockage. Ce déménagement va lui permettre d’augmenter sa capacité de production et de livrer 600 client.e.s par semaine.
Incubée depuis mars 2018 par le Business Innovation Center de Montpellier, Le régime de Véro annonce le transfert de son siège social à Montpellier en juin prochain, ainsi que la finalisation d’une levée de fonds de 150 K€ auprès de business angels. Elle vient de recruter un content manager et ouvrira un blog cet été pour apporter aux Internautes des conseils régime, des recettes légères et leur faire découvrir les coulisses de l’entreprise.
Prochaine étape pour Le régime de Véro : l’implantation de son appareil de production dans la métropole montpelliéraine début 2019. Ses dirigeants Véronique et Arthur Capon souhaitent en effet s’installer dans des locaux qui leur permettent, à moyen terme, de livrer hebdomadairement 2500 client.e.s.
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Contact presse : Karine Baudoin • 06 30 08 42 14.
 

La culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud » le 24 avril

Au-delà des règles d’un établissement scolaire ou de la mauvaise réputation d’un quartier, au-delà des croyances et des traditions, la culture bouscule les idées reçues dans « On dirait le Sud ».

Rendez-vous sur France 3 Languedoc-Roussillon les 24 et 25 avril 2015 pour découvrir le 6e numéro du magazine culturel « On dirait le Sud ». Au sommaire, sept courts documentaires consacrés à l’art et au patrimoine en région, co-produits par les Films d’Ici Méditerranée. Les réalisateurs ont filmé l’irruption déstabilisante et libératrice d’artistes du théâtre, de la chanson et du cirque dans un lycée alésien. Ils ont poussé la porte de la Casa Musicale à Perpignan où d’autres artistes transmettent leur amour du chant et de la musique à des jeunes du quartier Saint-Jacques. Ils nous invitent ensuite en Pays minervois, à l’écoute de la Mal Coiffée, un groupe de jeunes femmes qui réinvente l’art de la polyphonie occitane. « On dirait le Sud » fait alors une incursion dans l’Hérault pour nous confronter aux toiles, dessins et photographies de quatre peintres et plasticiennes qui exposent au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète, puis pour assister à la préparation du groupe montpelliérain de hip hop Submarin Crew qui participera à sa première « Battle Of The Year France » le 23 mai. Le magazine revient aussi sur la construction, dans les années 60, de l’église Saint-Dominique, surprenante nef de béton dans les quartiers Est de Nîmes. Il s’achève à Narbonne, où le dessinateur Toma Dutter invite des lycéens à se servir de leur cerveau intuitif…
Diffusions : 24 avril à 0h15, 25 avril à 15h20, France 3 Languedoc-Roussillon.
L’énergie communicative des artistes
Hip hop, rumba catalane, salsa gitane, slam… À la Casa Musicale de Perpignan, les artistes professionnels travaillent et transmettent leur énergie positive aux jeunes du quartier. « Tu veux régler un différend ? Tu le fais au micro, aux platines ou dans un cercle en dansant ! » Laure Bourdon Zarader filme ainsi les responsables du lieu, les artistes et les jeunes à l’œuvre d’une patiente construction de soi, avec les autres. On retrouve la même envie de donner chez les trublions qui bousculent les habitudes des élèves du lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès : invitation, incitation à oser se servir de son corps, de sa voix, à s’exprimer à travers le théâtre ou le chant. Souffle de liberté et de création dans le respect mutuel dont témoigne Boris Garavini. On se prend alors à rêver d’un système éducatif qui permettrait enfin cela, la construction d’une solidarité par l’épanouissement individuel.
« On dirait le Sud », seul magazine culturel de France 3 Région
Serge Lalou et Les Films d’Ici Méditerranée coproduisent avec France Télévisions le seul magazine culturel existant sur une antenne de France 3 Région. Émission mensuelle de 52 mn, « On dirait le Sud » est placée sous la direction éditoriale de Nathalie Combe assistée de Delphine Lalou. Elle se compose de 8 films courts de 6 à 8 mn commandés à des auteurs-réalisateurs de la région Languedoc-Roussillon. Chaque épisode est conçu comme une entité, avec son rythme propre, un sommaire qui présente en images les films de l’épisode et une voix off qui incarne le ton du magazine (la voix 2015 est celle de Jean-Michel Mariou, délégué France 3 Languedoc-Roussillon). La volonté de François Fronty, auteur-réalisateur, est de « filmer de façon remarquable des réalités culturelles remarquables, faire découvrir et diffuser la culture sous toutes ses formes. »
 

// Sommaire du numéro 06 – Avril 2015 //

Programmation le 24 avril 2015 à 0h15
Rediffusion le 25 avril 2015 à 15h20
Durée : 52 mn.
Des artistes au lycée de Boris Garavini et les Films Invisibles
Pendant cinq jours, au début du mois de mars et à l’initiative du Théâtre du Cratère, le lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès est littéralement envahi par les artistes de théâtre, chanson, cirque contemporain. Le film de Boris Garavini décrit cette irruption foisonnante dans l’enceinte de l’institution scolaire.
La Casa Musicale à Perpignan de Laure Bourdon Zarader
Installée dans un quartier gitan de Perpignan, ville exposée à des tensions importantes entre différentes communautés, La Casa Musicale contribue à une meilleure mixité sociale par la création de concerts dédiés aux Musiques du Monde et aux Musiques actuelles. Le film raconte la démarche d’un lieu qui associe étroitement culture et lien social. À la Casa Musicale, les artistes travaillent et transmettent aux jeunes dans des ateliers de hip hop, de rumba catalane, de salsa ou encore d’écriture de slam.

La Mal Coiffée de Manuel Deiller
Des jeunes femmes vivant dans le Minervois ont créé en 2003 un groupe de polyphonie, La Mal Coiffée, pour interpréter des chants traditionnels où poésie et langue occitane réinventent un répertoire populaire. Qui sont ces femmes qui réussissent à s’inscrire de façon contemporaine dans un terroir culturel et linguistique en évitant le risque passéiste et régionaliste, en l’universalisant ?

Chair, Magenta, Le bleu du ciel, Figures de Christine Baudillon
Une exploration du travail de quatre artistes exposées depuis février au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète : les peintures et tirages numériques grand format de Nina Childress, les tableaux et le wall painting de Sylvie Fanchon, les photographies et performances d’Enna Chaton, les dessins au crayon, autoportraits numériques et vidéos de Mïrka Lugosi.
Submarin Crew de Manuel Deiller
Groupe émergent de la scène hip hop, le crew Submarin prépare activement, à Montpellier, l’événement phare de l’année : les Battles, un championnat où les équipes rivalisent dans le rythme et l’acrobatie avec la théâtralité qui caractérise la discipline.

La Nef du Salut de Raymond Achilli
Dans un quartier de Nîmes aux constructions géométriques, un édifice bâti en forme d’amande avec des blocs de béton préfabriqués, questionne. Sur sa façade principale, aucun signe ostentatoire religieux connu. Seuls une nef franchit les flots et quelques poissons gravés dans le béton nagent au pied d’un pilier alors qu’à l’extrémité de celui-ci, une croix de Camargue ferre les cieux. En fait, cette alliance entre les gardians et les pêcheurs de la région est le symbole du Salut dans la religion catholique. C’est ainsi que l’architecte Joseph Massota qui souhaitait « bâtir une église en béton avec beaucoup de lumière, de verre », a conçu l’église Saint-Dominique, commandée par l’évêché et inaugurée le 13 décembre 1964.

Carnets de Jean-Baptiste Durand
Rencontre avec le dessinateur Toma Dutter, en résidence au lycée du Docteur Lacroix à Narbonne. Chaque année, la Région et la DRAC portent de nombreuses résidences d’artistes dans les établissements scolaires dans le but de promouvoir l’art contemporain, de le rendre plus accessible par le biais des artistes eux-mêmes. Pour les élèves il s’agit de faire un pas de côté par rapport aux autres enseignements et de travailler durant quelques semaines avec un artiste qui propose de sortir de l’intentionnalité et du cadre scolaire.
contact production : Élodie Dombre, 06 20 67 37 04.
contact presse : Karine Baudoin – 06 30 08 42 14. Journalistes, demandez vos codes d’accès privés pour découvrir le magazine en avant-première presse.
Documents en téléchargement :
• communiqué de presse,
• dossier de presse 2015.
 

Premier Business Happy Hour de la JCE d’Alès

La Jeune Chambre Économique d’Alès Cévennes en formation invite les jeunes actifs de l’agglomération à assister à son premier « Business Happy Hour » jeudi 4 décembre de 18h45 à 20h45 au pub Au Bureau. L’association, en pleine renaissance sur Alès, souhaite profiter de ce moment convivial pour présenter le mouvement Jeune Chambre Économique aux participants. Pour cela, elle a invité le président des JCE du Languedoc-Roussillon Ludovic Mure à exposer les principaux objectifs du réseau et ses actions au service du développement du territoire. Dans un second temps, la coach personnelle Laurence Bailleul présentera sa profession.

Quelques bonnes raisons pour participer au « Business Happy Hour » de la JCE :
• Découvrir la Jeune Chambre Économique
• Développer son réseau
• Rencontrer de futurs employeurs ou collaborateurs
• Donner de la visibilité à son projet professionnel ou à son entreprise
• Partager ses idées avec des professionnels
• Passer un moment convivial…
à propos de la JCE
La Jeune Chambre Économique Française est membre de l’ONG Junior Chamber International (JCI), organisation de jeunes citoyens responsables et solidaires qui œuvrent pour favoriser le développement de leurs cités et territoires dans plus de 100 pays. Âgés de 18 à 40 ans et issus de tous horizons professionnels, les membres JCE-JCI réalisent des actions concrètes dans tous les domaines : économique, social, humanitaire, culturel… Ainsi formés à la prise de responsabilités, ils agissent pour une société meilleure.
Entrée Libre
Pub Au Bureau – 8 Place Gabriel Péri – Alès.
contact presse : Florent Pienkowski – 07 78 17 75 21.